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Pencroff

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Tout ce qui a été posté par Pencroff

  1. 54 claircelune de l’an de grâce 253, Château des Empereurs de Stendel, De par le conseil supérieur du gouvernement impérial, À l’attention de l’écuyère Shalaevar Merilae, À l’ordre du Lys, Stendel. Chère mademoiselle, Nous avons reçu, il y a de cela quelques mois, la lettre par laquelle vous annonciez votre volonté de rejoindre les rangs du très prestigieux Ordre Impérial de la Chevalerie. Il est rare, disons-le, que de jeunes mages se lancent dans cette aventure aussi promptement après leur arrivée sur nos terres, à fortiori avant d’avoir pu accumuler quelque expérience militaire. Mais comme le dit l’adage ; « aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années » ; Témoignant, ces derniers mois, de votre grande implication dans la vie de notre cher empire ; nous n’avons pu que vérifier la justesse cette vieille maxime et confirmer que vous ne manquiez en rien à la qualité d’écuyer, autant en valeur morale qu’en courage et en sens du devoir. Cela est d’autant plus vrai que nous avons, entre temps, pris connaissance des événements que vous avez porté à notre attention au sujet de cette mystérieuse brume qui semble s’être levée en certains points du territoire et au-delà de certaines de nos frontières. À ce propos, nous avons cru comprendre, en recevant sa chevalière, que vous aviez croisé la route du commandant Leif de Velsk, officier émérite et reconnu de nos forces qui avait été chargé de mission dans une des zones les plus sinistrées. Nous espérons que vous poursuivrez vos recherches avec force assiduité et que vous y trouverez tout le succès qui s’impose, si nous voulons délivrer les victimes de cette étrange menace. Revenant à votre candidature, et à l’objet de cette lettre ; Pour les raisons mentionnées plus avant, nous avons le plaisir de répondre positivement à votre demande, et de vous accorder, par la présente lettre ; le rang et l’appellation de Chevalier. Puissiez-vous porter haut les valeurs d’honneur et de probité de la chevalerie, et servir en tous temps et en tous lieux ceux qui se tourneront vers vous pour quérir votre assistance et trouver, sous votre bouclier, la protection de l’empire. Avec nos salutations respectueuses, Le conseil supérieur du gouvernement impérial. Au nom des Empereurs et du peuple.
  2. 54 claircelune de l’an de grâce 253, Château des Empereurs de Stendel, De par le conseil supérieur du gouvernement impérial, À l’attention de l’écuyer lyoriu, À Simurgh, Stendel. Cher monsieur, Nous avons reçu, il y a de cela quelques mois, la lettre par laquelle vous annonciez votre volonté de rejoindre les rangs du très prestigieux Ordre Impérial de la Chevalerie. Grand conseiller du Royaume de Simurgh où vous vous êtes fait un nom dans le paysage politique local, vous êtes rentré dans les armes sous la bannière de ce même royaume à la demande de votre seigneur, qui se trouve être lui-même un chevalier d’empire renommé. Il semble également que vous ayez été formé au maniement de l’épée par une des lames les plus célèbres de l’empire ; et que vous avez été un élève prodige dans cette discipline. Tous les écuyers n’ont pas la chance d’apprendre les rudiments des métiers des armes à si bonne école, et de faire leurs premières campagnes à la suite de pairs prestigieux et aguerris. Cela dit, la formation ne fait pas tout. Car c’est bien dans la pratique que vous vous êtes le plus illustré, tant à l’occasion des opérations d’exploration dans les fameux tréfonds, à la suite de la guilde des explorateurs et accompagné de vos camarades d’escouade ; que durant les batailles de la guerre démoniaque ou, combattant en première ligne, vous avez accompagné sans faille les effectifs de la chevalerie qui étaient déployés sur place. Bref, c’est donc avec plaisir que nous vous accordons le rang que vous convoitez, et que nous vous nommons par la présente lettre au grade de chevalier. Puissiez-vous porter haut les valeurs d’honneur et de probité de la chevalerie, et servir en tous temps et en tous lieux ceux qui se tourneront vers vous pour quérir votre assistance et trouver, sous votre bouclier, la protection de l’empire. Avec nos salutations respectueuses, Le conseil supérieur du gouvernement impérial, au nom des Empereurs et du peuple.
  3. 54 claircelune de l’an de grâce 253, Château des Empereurs de Stendel, De par le conseil supérieur du gouvernement impérial, À l’attention de l’écuyer Lugnasad, À Dolgarund, Stendel. Cher monsieur, Nous avons reçu, il y a de cela quelques mois, la lettre par laquelle vous annonciez votre volonté de rejoindre les rangs du très prestigieux Ordre Impérial de la Chevalerie. Servant d’ores et déjà sous la bannière du royaume Dolenti en qualité de chevalier, il semble que vous ayez déjà eu l’occasion de faire vos premières armes, ce qui, sans doute, vous aura conduit à entreprendre cette longue et glorieuse épopée qu’est la quête du titre prestigieux de chevalier impérial. Nous avons eu vent, d’ailleurs, de vos faits d’armes glorieux après de la guilde et au cours de la guerre démoniaque ou, à plusieurs reprises, vous vous êtes illustré par votre bravoure et votre témérité. La guerre, véritable fléau pour les hommes, n’en est pas moins une formidable école pour ceux qui ont voué leur vie à combattre pour la défense des plus faibles et des innocents : Elle baptise par le feu, affûte les sens et perfectionne le maniement de l’épée. Bien heureux sont ceux qui, dans leur vie, font le choix des armes et reçoivent, à défaut de richesse, la gloire brut mais silencieuse, personnelle. Pour revenir à votre candidature, sachez que nous avons également reçus de nombreux soutiens de vos pairs, et notamment de nobles et de chevaliers ; gage s’il en est que vous n’avez pas frappé à la mauvaise porte en déposant votre candidature. C’est donc avec plaisir que nous l’acceptons, et que nous vous nommons par la présente lettre au grade de Chevalier. Puissiez-vous porter haut les valeurs d’honneur et de probité de la chevalerie, et servir en tous temps et en tous lieux ceux qui se tourneront vers vous pour quérir votre assistance et trouver, sous votre bouclier, la protection de l’empire. Avec nos salutations respectueuses, Le conseil supérieur du gouvernement impérial, au nom des Empereurs et du peuple.
  4. Nouvelle Quête disponible ! [G] Une étrange histoire Récompense : Cette quête vous donne 50 points de réputation et un kit d'accessoires ! PNJ de départ : tableau de la guilde en -734 63 1445 sur Stendel. Cette quête n'est pas répétable. Cette quête est disponible à partir de 300 points de réputation ! Risque de mort modéré. Les accessoires débloqués peuvent être colorés auprès du tisserand d'état de Stendel ! Quête écrite par @Wariow !
  5. création d'un PNJ sur FH, paiement de 300PAs fait à l'instant !
  6. 48 Clairecelune de l'an de grâce 277, Château des empereurs de Stendel, Autorité Impériale de l'état-civil, À l'attention de monsieur Creepeurse, à Crystalis, Nimps. Cher monsieur, J'ai bien reçu votre lettre de candidature au rang de villageois. J'ai reçu, également, les lettres de recommandation que les citoyens Nono, Lakorah et Dudbreak m'ont adressé à votre égard. J'avoue ne pas avoir tout compris à votre récit, en dehors du fait que vous aviez trouvé votre bonheur à Crystalis après avoir survécu à un naufrage. Je sais d'expérience que cette belle ville est bien fréquentée et joliment tenue et que vous y connaitrez la prospérité; en attendant peut-être de vous lancer à l'aventure sur d'autres terres comme cette cité de Grenat que vous mentionnez. Ceci étant dit, et pour en revenir à l'objet de votre missive; votre candidature semble en règle, aussi ai-je l'honneur de vous accorder par le présent document le titre de villageois que vous convoitez. Puisse votre aventure sur nos terres être longue, prospère, et paisible. En vous priant d'accepter mes salutations les plus impériales, Gouverneur Pencroff.
  7. Concernant la quête « Petits meurtres généraux » il est désormais possible, pour les joueurs possédant l'armure de garde de Stendel, d'obtenir un plastron et des bras d'armure aux couleurs de New-Stendel. Rendez-vous auprès du Lieutenant Knox, dans la prison de New-Stendel, pour récupérer ces accessoires.
  8. La garde, comme toute force armée régulière, est régie par un ordre hiérarchique précis et strict. Le rang de chaque volontaire au sein de la garde est défini par son grade, duquel découle ses attributions, fonctions et prérogatives. Les grades de la garde ne s'obtiennent que par avancement au sein des rangs à partir du grade auquel entre le volontaire. Il est en effet possible de débuter sa carrière comme simple soldat, ou comme élève-officier. Dans le premier cas, l'avancement se fera à partir du grade de soldat de seconde classe. Dans le second cas, l'avancement débutera au grade d'aspirant. Outre les grades, il existe un certain nombre de fonctions qui peuvent être attachées à un garde volontaire. Qu'il s'agisse de fonctions administratives ou de rôles de commandement, ces fonctions servent toutes à la bonne conduite des armées, en temps de paix comme en temps de guerre. Les grades sont répartis en plusieurs rangs, ou familles, selon leur échelon de commandement: La Troupe Regroupe les volontaires du grade de soldat de seconde classe au grade de caporal. Les militaires de ce rang forment les forces vives de la garde et ne sont pas nécessairement amenés à commander. En revanche, les caporaux sont souvent très actifs dans l'encadrement et la formation des jeunes soldats, afin de leur faire profiter de leur expérience. Les caporaux peuvent devenir sous-officier par avancement direct. Les Sous-Officiers Sont les volontaires du grade de sergent au grade d'adjudant. Les militaires de ce rang assurent l'encadrement de la troupe et le fonctionnement routinier de leurs unités. Ils veillent à la bonne tenue des hommes, à leur entrainement, et assurent des fonctions administratives diverses. Les adjudants peuvent passer un concours spécial au sein de l'école militaire de Fort Herobrine pour devenir officier. Les Officiers subalternes Sont les volontaires du rang de sous-lieutenant à capitaine. Ils sont les premiers meneurs des troupes au combat, et commandent les premières unités organiques de la garde. Responsables de leurs soldats, ils agissent en patriarches et doivent inspirer et motiver leurs hommes. Les capitaines peuvent devenir officier-supérieur en passant un brevet d'état-major à l'école militaire. Les Officiers supérieurs Sont les volontaires du rang de commandant à colonel. Ils sont les chefs des bataillons et des régiments dont leur commandement leur est confié. tenant le premier rang de l'unité au combat, ils en sont l'âme et le visage. Ils peuvent également occuper de hautes fonctions dans les états-majors. Les colonels peuvent devenir officier-général sur nomination du conseil de l'ordre et après un passage par l'école de guerre. Les Officiers généraux Sont les volontaires du rang de général de brigade à général d'armée. Ils sont les stratèges et les tacticiens de l'armée, et commandent ses grandes unités aidés de leur état-major. Les généraux sont aussi des modèles pour le reste des troupes et doivent servir avec panache et honneur afin de montrer l'exemple. Ils sont à la décision de chaque mouvement des unités. Le grade de général d'armée est le dernier pouvant être atteint par un militaire, mais il est inférieur au rang de maréchal d'empire, qui n'est pas un grade mais une dignité attribuée aux gouverneurs militaires et qui offre les attributions d'un général d'armée. Ci-dessous, un tableau récapitulatif de tous les grades de la garde volontaire répartis dans leurs rangs. Dotée d'une organisation complexe et de troupes nombreuses, la garde volontaire est dotée pour son fonctionnement de solides organes décisionnels et administratifs, qui sont en mesure de tenir le rythme soutenu de la vie d'une armée. De la logistique aux finances en passant par l'avancement et l'entrainement, tout est fait pour que l'armée puisse être en permanence prête à se projeter contre un ou plusieurs ennemis sur de grandes distances et sur une longue durée. Pour cela, de nombreuses spécialisations et fonctions entrent en jeu, afin d'assurer la gestion de la garde ou d'en simplifier le fonctionnement. Dans les états-majors, on trouve par exemple: Le Commandant en chef Le commandant en chef de la garde volontaire se trouve au sommet de la chaine décisionnelle de l'armée. Il décide des mouvements, des manœuvres, sur le plan stratégique et sur le plan tactique. Ses décisions et sa volonté tracent la marche des troupes, en temps de guerre comme en temps de paix. Il a le dernier mot sur chaque décision qui est prise, et tous les comptes lui sont rendus. Cette fonction est assurée par le maréchal Zorn, premier consul et maréchal d'empire. Le Major-général Il n'y en a qu'un dans la garde volontaire, placé sous les ordres du général en chef de la garde. Le major-général est le premier chef d'état-major de l'armée, et est chargé de la transcription et de la transmission des ordres du général en chef dans toutes les unités. Cette fonction demande un grand esprit logique et logisticien, ainsi qu'une grande rigueur et une compréhension claire des volontés du général en chef. Placé à la tête de l'état-major général, le major-général doit tout savoir, tout comprendre et tout être en mesure d'expliquer de manière aussi concise que précise. L'inspecteur-général Il n'y en a qu'un dans la garde volontaire, placé sous l'autorité du général en chef. L'inspecteur-général doit s'assurer de la disponibilité, de la bonne tenue et de l'opérabilité de la garde en toutes circonstances. Il passe les troupes en revue, organise les manœuvres d'entrainement et rédige les carnets hebdomadaires qui informent le général en chef sur l'état des troupes. Il étudie également les améliorations possibles dans le fonctionnement de la garde et de ses unités, et fait part de ses observations au conseil de l'ordre. Les Colonels-généraux Il en existe plusieurs dans la garde volontaire, à la tête de chaque "arme": Le colonel-général de l'infanterie, celui de la cavalerie, de l'artillerie, et de la gendarmerie. Les colonels-généraux sont en charge des revues des unités de leurs armes, et veillent à leur bon fonctionnement. Ils siègent au conseil de l'ordre, où ils rapportent leurs observations et font part de leurs recommandations au commandant en chef, à la manière de l'inspecteur-général. Les aides de camp généraux Les aides de camp généraux sont les plus proches conseillers du général en chef. Ils ne le quittent presque jamais, et lui apportent leur vision tactique et stratégique afin de l'aider dans ses prises de décision. Outre ces responsabilités de conseillers, les aides de camp généraux peuvent également être envoyés directement prendre le commandement d'un mouvement sur ordre du général en chef, afin de simplifier et de fluidifier l’exécution dudit ordre. Tous les aides de camp généraux sont au grade de général de brigade ou de division. Les commandants d'armes Au sein des états-majors de l'armée et des corps d'armée, il existe un commandement d'arme, assuré par un officier général chargé de superviser les mouvements de son arme au sein de l'unité. Dans un corps d'armée, le rôle de commandant de l'artillerie est tenu par un général de division. Celui de commandant du génie est tenu par un général de brigade, et celui de commandant de la gendarmerie est tenu par un colonel. Les directeurs de parc Les directeurs de parcs sont les commandants des parcs d'artillerie et de génie au sein de l'armée. Ils ont pour mission de veiller au stockage et à l'entretien des pièces d'artillerie et du matériel de l'armée, de leur inventaire et de leur envoi vers les unités qui nécessitent leur renfort. Ces fonctions sont remplies par des colonels. Les aides de camp Comme les aides de camp généraux, les aides de camp sont les conseillers et les adjoints directs des généraux au sein des corps d'armée, des divisions ou des brigades. Souvent issus des différentes armes qui composent l'unité qu'ils servent, ils complètent la vision de leur général et peuvent être amenés à commander des mouvements sur le terrain en application de ses ordres. Les chefs d'état-major Servant auprès des généraux commandant, les chefs d'état-major sont, à l'instar du major-général de l'armée, les garants de l'organisation et de la logistique de leur unité. Ils rédigent les ordres du général dont ils dépendent, règlent l'ordre de bataille et prévoient l'approvisionnement nécessaire à leurs troupes. Ils conseillent leur général et le suivent dans tous ses mouvements. Cette fonction est occupée par des colonels ou des généraux. Les commandants de place Les commandants de place sont les officiers à qui a été confié la garde d'une place forte. Qu'ils soient colonels ou généraux, ils ont pour mission de tenir leur position et de veiller à son entretien et à la défense de ses alentours. Les commandants de place restent souvent en poste malgré les changements de garnison, et ont également la charge d’entraîner et de commander les bataillons de volontaires préfectoraux. Les adjudants-commandants Les adjudants-commandants sont des colonels appelés à occuper des fonctions d'état-major habituellement affectées à des officiers généraux. Ils conservent leur grade de colonel, mais tiennent un rang particulier entre les officiers supérieurs et les officiers généraux. On les retrouve souvent aux postes de chef d'état-major, de commandant de place ou d'aide de camp. Les ordonnances Qu'ils soient officiers ou sous-officiers, les ordonnances sont les assistants des généraux. Leurs missions sont vastes et dépendent souvent de leur général; et peuvent aller du secrétariat au transport de messages urgents, en passant par la gestion de l'ordinaire de l'état-major. Les commissaires Ce sont les principaux gestionnaires de l'administration de la garde. Officiers d'état-major, les commissaires veillent aux finances, à l'achat d'armes et de vivres, à l'habillement des troupes et à la remonte des chevaux. Ils tiennent les inventaires et les comptes, et rédigent des rapports détaillés et réguliers de l'état de l'armée. Les attachés d'état-major Qu'ils soient officiers ou sous-officiers, les attachés d'état-major sont des ordonnances qui ne dépendent pas d'un état-major particulier mais de l'état-major général ou d'une autre administration de la garde. On les retrouve dans les commissariats et les cabinets, de même que dans les divers bureaux de l'armée. Les ingénieurs-géographes Ces officiers d'état-major sont spécialisés dans la cartographie et la topographie. Ils planifient tous les terrains sur lesquels la garde est susceptible de se rendre, notent les routes et les reliefs et les détails importants de la géographie de chaque lieux. Recevant les informations de leurs éclaireurs ou se déplaçant eux-mêmes pour en étudier les détails; ils ont pour mission de faire de chaque position un monde connu. Les interprètes Qu'ils soient officiers, sous-officiers ou parfois simples soldats; les interprètes ont pour rôle de faire le lien entre la garde et les populations qui ne parleraient éventuellement pas le stendelien. Ils sont la voix de la garde auprès des autorités locales étrangères et facilitent le recueil de l'information lorsque la garde est en campagne dans une nation peu civilisée. Les Vaguemestres Rôle souvent dévolu à des sous-officiers, les vaguemestres sont des messagers chargés de la correspondance au sein des différentes unités de la garde. Qu'il s'agisse de lettres privées ou de missives militaires, tout ce qui n'est pas directement acheminé par une ordonnance l'est par les vaguemestres. Ils ont aussi la charge de tenir les relais de poste. Les Médecins et chirurgiens Officiers du service de santé de la garde, les médecins et les chirurgiens sont en charge des hopitaux militaires et des hopitaux de campagne. Certains sont également incorporés dans les unités pour suivre les troupes au plus près de leurs mouvements et traiter directement les blessures sur les arrières directs des champs de bataille. Les médecins de la garde ont une grande expérience de la médecine de guerre, et leurs thèses sont particulièrement suivies dans le domaine médical. Les infirmiers et brancardiers Sous-officiers et soldats, les infirmiers et les brancardiers sont les assistants des médecins et des chirurgiens. Les premiers servent directement auprès d'eux et les aident dans leurs tâches au sein des hopitaux et des postes de secours, et les seconds ont pour mission de trouver les blessés sur le champ de bataille et de les acheminer au service de santé pour traitement. Les vétérinaires des armées Ces officiers, affectés au service de santé des armées et dans les écuries de la garde, sont chargés de soigner et de veiller à l'entretien des divers animaux dont la garde a l'usage, qu'il s'agisse des très nombreux chevaux des unités montées ou des pigeons voyageurs en passant par les animaux de compagnie des troupes.
  9. Dans la Garde Volontaire comme dans toute armée, à plus forte raison au service de l'empire, l'honneur est à la fois une valeur maîtresse et un guide moral. Au dessus de la gloire et de la renommée, tout volontaire doit avant tout agir pour l'honneur de ses armes et de son drapeau, ainsi que pour le sien. C'est l'honneur d'un soldat qui, au delà des autres considérations, définit son mérite au sein des armes. Le courage, l'abnégation, la bravoure, la témérité sont autant de qualités qui forgent l'honneur des volontaires et que la garde sait reconnaître et sait, surtout, récompenser pour hisser en exemple les éléments les plus méritants. La garde a donc mis en place une série de distinctions et de médailles, valorisant à divers degrés les volontaires pour leurs faits d'armes parfois héroïques, comme pour les petites actions qui ont fait l'honneur de son étendard. Au sommet de la hiérarchie des distinctions se trouvent les croix. Elles regroupent les médailles les plus glorieuses et les plus recherchées, témoins muettes des grandes qualités militaires et du haut mérite de leur porteur. Les Croix sont remises sur décision du général en chef et premier consul, sur suggestion des généraux siégeant au conseil consulaire. Parmi ces distinctions ont trouve: La Croix de la Légion d'Obsidienne C'est la plus haute distinction au sein de la garde volontaire. L'ordre de la légion d'obsidienne récompense les actions les plus héroïques et les plus éclatantes des gardes, et place ceux qui la portent sur un piédestal d'honneur et de renommée. Quelque soit leur grade, les volontaires décorés de cette croix sont appelés "monsieur" ou "madame" et sont salués par leurs camarades de tous grades. Les gardes en faction leur présentent les armes, et ils sont souvent appelés pour assurer la garde au drapeau de l'armée, honneur suprême. Il est courant, lors de la remise de cette haute distinction, que le maréchal Zorn décroche sa propre médaille pour l'agrafer sur la poitrine du garde mis à l'honneur. La Croix du Volontaire Les volontaires sont, par nature, intrépides et braves. Comme leur nom le laisse entendre, ils se portent au danger de leur propre chef, quitte à aller plus loin encore que ce qui peut être normalement attendu d'eux. La croix du volontaire récompense les gardes ayant accompli des actions héroïques dépassant le cadre de leurs obligations militaires et ayant rendu de grands services à la garde ou au consulat. Si le port de cette croix n’entraîne aucun privilège particuliers, ses porteurs sont tout de même salués par tous les grades et surnommés "les braves". La Croix du Sang Versé Cette croix est remise à tous les gardes tués ou grièvement blessés en service commandé, et ayant frôlé la mort ou se trouvant handicapé. La garde souhaitant honorer tous les sacrifices de ses soldats et n'en abandonner aucun, cette distinction s'accompagne d'une pension à vie si le volontaire n'est plus en capacité de servir. Si le volontaire est encore apte au service, il peut être affecté à des tâches administratives ou d'instruction. Dans tous les cas, valides ou invalides, tous les blessés restent dans la garde parmi les leurs. Tous les rangs leur doivent le salut. La Croix de Guerre Cette croix est remise à tous les volontaires ayant participé à une campagne. Une fois la croix remise, on y ajoute une agrafe par campagne. Bien que la garde soit souvent en campagne et que de nombreux gardes soient éligibles à cette distinction, elle n'en est pas moins valeureuse. La guerre est toujours terrible, brutale et périlleuse, et ceux qui la font pour la défense des plus faibles et des plus démunis méritent d'être décorés. Le nombre d'agrafe sur cette croix définit aussi la vétérance d'un volontaire. Cette croix est aussi ajoutée sur les drapeaux des régiments quand ceux-ci sont déployés au cours d'un conflit. Au dessous des Croix se trouvent, dans l'ordre de préséance, les citations. Elles témoignent de hauts faits à différents niveaux, et leur valeur dépend de l'échelon de l'ordre auquel est inscrite la citation. La décision de citer un volontaire revient au commandant de l'échelon auquel il sera cité, qu'il s'agisse du régiment ou de la division par exemple. Les médailles de ces distinctions sont accompagnées d'un rapport du fait d'arme qui est lu lors d'une cérémonie devant les camarades du volontaire mis à l'honneur. Outre les soldats, les unités organiques peuvent également être citées aux différents ordres. La médaille est alors agrafée sur l'écharpe du drapeau. Parmi ces distinctions ont trouve: La citation à l'ordre de l'armée Elle est décidée, rédigée et signée par le général en chef de la garde pour une action héroïque dans le cadre du service commandé; et est considérée comme un honneur suprême. Les gardes cités à l'ordre de l'armée sont décorés sur la place d'armes du Grand Quartier Général en présence des régiments de la garde d'élite et des colonels-généraux, ainsi que la garde au drapeau de l'ordre de la Garde Volontaire. Le régiment du volontaire est également présent. A la fin des campagnes, les gardes tombés au combat sont tous cités à cet ordre à titre posthume au cours d'une cérémonie dite du "bataillon fantôme". La citation à l'ordre du corps d'armée Elle est décidée, rédigée et signée par le général commandant le corps d'armée pour une action héroïque dans le cadre du service commandé. Cette distinction est souvent attribuée après un fait d'arme ayant eu un impact décisif sur l'action du corps d'armée, et témoigne de la reconnaissance et du respect du général du corps. Cette décoration est remise sur la place d'arme du commandement du corps, en présence du général de corps d'armée et des gardes au drapeau de tous les régiments du corps disponibles. Le régiment du volontaire est présent. La citation à l'ordre de la division Elle est décidée, rédigée et signée par le général commandant la division pour une action d'éclat dans le cadre du service commandé. Cette distinction est souvent attribuée pour un fait d'arme ayant eu un impact décisif sur l'action de la division, et témoigne de la reconnaissance et du respect du général de division. Cette décoration est remise sur la place d'arme du commandement de la division en présence du général de ladite division et les gardes au drapeau des régiments disponibles. Le bataillon du volontaire est présent. La citation à l'ordre de la brigade Elle est décidée, rédigée et signée par le général commandant la brigade pour une action d'éclat dans le cadre du service commandé. Cette distinction est souvent attribuée pour un fait d'arme ayant eu un impact décisif sur l'action de la brigade, et témoigne de la reconnaissance et du respect du général de brigade. Cette décoration est remise sur la place d'arme du commandement de la brigade en présence du général de ladite brigade et les gardes au drapeau des régiments disponibles. Le bataillon du volontaire est présent. La citation à l'ordre du régiment Elle est décidée, rédigée et signée par le colonel chef de corps du régiment pour une action méritante dans le cadre du service commandé. Cette distinction est attribuée aux gardes ayant le plus contribué par leurs actions aux succès du régiment, et témoignent de la reconnaissance et du respect du chef de corps. Cette décoration est remise sur la place d'arme du régiment en présence de la garde au drapeau et du reste du régiment. Outre les faits d'armes et les coups d'éclat, la garde reconnait aussi le mérite de ses soldats dans la longévité de leur service. Souhaitant mettre à l'honneur les volontaires qui n'auraient pas eu l'occasion de s'illustrer personnellement mais qui ont toujours répondu présent et participé au succès des actions collectives, la garde a mis en place un système de distinctions appelé "hommages". Les gardes peuvent recevoir les hommages de leur arme lorsqu'ils étaient présent dans une unité lorsque celle-ci a été citée à l'ordre de la division ou plus, considérant que leur participation à l'action de ladite unité aura eu un impact sur son succès. Les gardes peuvent également recevoir les hommages après 5 années de service pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Parmi ces distinctions ont trouve: La médaille de l'infanterie Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus. La médaille de la cavalerie Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus. La médaille de l'artillerie Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus. La médaille de la gendarmerie Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus. La médaille du génie Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus. La médaille du train Est remise à un garde à partir de 5 années de service au sein de l'arme pour l'échelon de bronze, 10 années de service pour l'échelon d'argent et 15 années de service pour l'échelon d'or. Peut être remise pour la participation à une action collective ayant justifié la citation de la compagnie à l'ordre de la division ou plus.
  10. création de 2 PNJs sur FH, paiement de 300PAs fait à l'instant, suivi d'un autre !
  11. Série de quêtes accessible à tous et non répétable. Récompenses : Mystère ! (il y en aura plusieurs, à terme) PNJ de départ : tableau de la guilde en -735 54 1330 sur Stendel (guilde des explorateurs) Les quêtes de Rafvenwout sont rédigées par @xadrow /!\ Attention, certaines quêtes nécessite de traverser des zones donjon, où vous pouvez mourir. /!\
  12. création d'un PNJ sur FH, paiement de 300PAs fait à l'instant !
  13. achat de 2 animaux pour FH, paiement de 100PAs fait à l'instant !
  14. Création de 2 PNJs sur FH, Paiement de 600PAs fait à l'instant !
  15. création d'un PNJ sur Tolwhig, paiement de 300PAs fait à l'instant !
  16. Le village de Férincs, dont la construction a été validée en décembre 2014, est aujourd'hui à l'abandon. Situé en bordure du miko institute, de Cénéria et de Zuccheria; il passe presque inaperçu. Quelques quais, quelques maisons et un petit fort attendent depuis presque 2015 d'être achevés, perdus au milieu d'une mer de torches et d'un terrain déforesté. Plus habitué au sud de Stendel, je suis souvent passé à coté, sans trop y faire attention. Puis, à force, j'ai fini par envisager de le reprendre. Férincs n'est pas un gros projet, ni un projet trop ambitieux: c'est un petit village portuaire, entouré de forêts, qui a plutôt vocation à prendre une allure de bourgade paisible. Après avoir vainement cherché à prendre contact avec le fondateur du projet, j'ai formulé une demande de procédure "projet abandonné" qui a été transmise aux scribes concernés, et qui est récemment arrivée à son terme, toujours sans réponse. Le projet étant donc orphelin, je poursuis donc la démarche au travers de cette demande. Notez que j'ambitionne de reprendre ce projet à titre personnel. Ayant transmis le commandement de la garde volontaire, et bien que je participe toujours activement à ses travaux; je cherchais à me lancer dans une nouvelle entreprise plus personnelle, un peu loin de ce que j'ai lancé jusqu'à maintenant, et en tant que joueur. Reprendre et poursuivre Férincs avec des nouveaux blocs, décorer le projet et l'améliorer au fil des ajouts de nouveaux matériaux sur le serveur me semble être l'occasion idéale. Férincs à présent Férincs est une "ville nouvelle" recrée le 4 Nérévard de l'an de grâce 105 sur les ruines de la ville antique de Féronics, du nom du dieu éponyme (enfin la ville est l’éponyme du dieu). Historiquement, Féronincs était le berceau des Félinxiens, un peuple d'hommes-chats qui s'était dispersé avant l'ère impériale suite à un conflit, et qui n'a cessé d'être en "voie d'extinction" que depuis la fondation de Férincs. C'est donc en l'an 105, avec l'aide de guerriers de Dolgarund, qu'une nouvelle colonie s'installa sur les ruines de l'ancienne cité. De cette colonie naquit un village, Férincs, qui fut rapidement doté d'un port de pêche. Des fouilles archéologiques furent organisées sur place pour retrouver les vestiges de la lointaine aïeule du village, et l'annonce de la recréation d'un peuple d'hommes-chats fit converger vers le village de nombreux nomades de tous poils désireux de retrouver leurs semblables, ainsi que de nombreux aventuriers de toutes races qui vinrent se mêler à la population locale. Idéalement située au confluent d'un fleuve menant aux mers du nord de Stendel, l'activité fluviale et maritime offrit rapidement à la ville toute la prospérité dont elle avait besoin et une abondance de vivres qui y rendait la vie fort agréable pour quiconque aime le poisson. La direction de la ville fut confiée à un consul (sorte de roi élu par le peuple parmi les anciens conseilleurs) aidé par un chaman (adjoint direct du consul, également élu) et par des conseillers. Enfin, de l'an 105 à notre ère, en l'an de grâce 274, il ne se passa plus grande chose et la vie sur place sembla suivre son cours paisible. Ce que j'ambitionne d'y faire Pour commencer, au travers de cette reprise, je n'ai pas l'intention de faire de changements drastiques à ce que doit être Férincs. L'histoire du projet telle qu'elle a été écrite à son origine ne sera pas changée d'une virgule: la population locale sera bien composée d'une majorité d'hommes-chats et d'autres représentants d'autres espèces, et le village restera ancré autour de la pratique de la pêche et le culte des dieux Félinxiens. Ce qui va changer, en revanche, dans le RP du projet c'est la forme de son gouvernement et le mode de gestion de son territoire. En effet, si le statut de Férincs n'avait jusqu'ici pas été précisé (on peut toutefois penser qu'il s'agisse d'une petite cité autonome), je compte en faire un marquisat. Un marquisat est un fief situé en frontière d'un pays et qui est confié à un marquis, qui est l'équivalent d'un comte avec la charge particulière d'assurer la défense de la frontière (il y a donc une préséance hiérarchique du marquis, qui le place entre le comte et le duc). En l’occurrence, la position de Férincs aux abords des frontières nord de l'empire en fait un excellent candidat au marquisat. Le marquis sera donc en charge du territoire (village, port et forêt compris), tandis que le village en lui-même sera administré par un bourgmestre. Outre ces considérations RP, et pour en venir à du plus concret; j'aimerais donner à Férincs des allures de petit village côtier, de bourg de pêcheurs. Le village sera donc composé d'un port, qui est déjà fait et qui sera simplement amélioré; et de maisons qui restent encore à être construites. Il s'agira de maisons basses pour la plupart, parfois dotées d'un étage, et construites en briques et en bois afin de résister aux vents marins. Chaque maison sera légèrement surélevée sur une base de grès, de sorte à se prémunir des inondations qui sont courantes à proximité des fleuves. Enfin, j'ai choisi d'écarter l'idée de maisons emmêlées dans des arbres telle qu'il en avait été question à l'origine du projet, pour prendre une tournure plus rurale comme ce qui a été commencé avec l'une des deux seules maisons du projet et qui semble être la direction prise avant son abandon. Enfin, à terme, je compte doter le projet de tout ce qui se fait de mieux en terme de décoration: PNJs, Animaux décoratifs, Zone d'ambiance, cubo (oui oui, ça compte dans la déco, ça vire les vieux zombards des rues). => Dimensions: mêmes que les dimensions actuelles, environ 250x200.=> Hauteur: même que l'actuelle.=> Plan de votre territoire: Cf la carte ci-dessous.=> Zone de construction: Terrestre et marine (dans les eaux territoriales). Un peu de souterrains.=> Objectif du Projet: Décoration et habitations.=> Personne responsable du projet: Pencroff. Comme mentionné en introduction, j'ai pris contact avec le dirigeant et fondateur du projet, mais sans avoir de réponse. Après près d'un mois, j'ai demandé à Squirkiz, gouverneur en charge des demandes de projets et des procédures, si il était possible d'en lancer une pour le projet. Une fois la procédure lancée par un scribe, et après un mois sans réponse de ce coté là non plus, je peux donc lancer cette demande de reprise. Carte des aménagements prévus (oui c'est mal dessiné, sorry) Pour conclure cette demande, je vous remercie d'y avoir prêté votre attention; et j'aimerais remercier en particulier Wariow qui est l'architecte du navire qui occupera le port. J'aimerais également remercier tous mes camarades de la garde, puisque l'occasion s'y prête et bien que ce ne soit pas en rapport avec la présente demande. Enfin, je remercie squirkiz pour ses réponses à mes nombreuses questions quant à cette demande. Vive l'empire, vive l'empereur et vive les impériaux !
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  18. Hello, une parcelle pour un armurier esvépé !
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  21. 41 Cidélia de l'an de grâce 273, Château des empereurs de Stendel, Autorité Impériale de l'état-civil, À l'attention de monsieur Dudbreak, à Stendel. Cher monsieur, C'est absolument catastrophé que je me rends compte que votre candidature n'a pas encore été traitée. J'en suis confus, aussi vais-je corriger ce retard sans autre délai. Votre candidature est en règle, et elle est soutenue par plusieurs de vos pairs dont un de nos braves chevaliers. il est inutile de dire que son acceptation n'est qu'une formalité. Je vous nomme donc au rang de Citoyen, avec mes félicitations. Veuillez pardonner le retard qu'aura pris ce courrier, en vous souhaitant une aventure longue et paisible sur nos terres. Puisse le métier de joaillier vous apporter la richesse et la prospérité. Avec mes salutations impériales, Gouverneur Pencroff.
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