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A boire !


descamps
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Sinon, mis à part Les Seigneurs des Runes que j'ai pris par curiosité et que je ne connais que très peu pour en avoir un vrai avis, je te conseille vraiment les Fourmis de Bernard Werber et les Annales de la Compagnie Noire de Glen Cook, ce sont des must have que tu te dois d'avoir lu. :) Les Fourmis est une vraie expérience très dépaysante et inhabituelle en plus d'être originale, et la Compagnie Noire, bien que très sombre, et devenu un pilier de la Fantasy moderne qu'il faut connaitre. :)

 

Oki, j'irai harceler les bibliothécaires de mon quartier du coup :P Ça tombe bien en plus, je n'ai plus rien à lire après avoir lu K1 et relu trois fois les quatorze tomes des Jeunes Chevaliers Jedi (Eh oui, je n'ai pas encore la suite de l'Epée de Vérité :'( ).

 

J' ai rien pigé à ce qu' a dit Night XD

 

Bah en gros, tu vois la qualité de mon sens de l'orientation, nan ? Il est très efficace, tu t'en rappelles je pense. Eh bah ici, ma mémoire me fait autant défaut que mon sens de l'orientation habituellement. En bref : je me rappelle plus de ce qu'il y avait exactement dans ta précédente signature, laquelle des phrases est celle que tu as rajoutée ? ^^

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Aaaaah ! Bah j' ai erazat a ajouté des épaulières et une épée badass ( Designé par Flori )

 

Ah oui, effectivement, pas mal :)

 

Bon, j'ai fini mon deuxième chapitre, j'aurai juste quelques trucs à corriger et améliorer je pense, puis ce sera bon ^^

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[barrer]Comme Dom au ... .[/barrer]

 

Joli ! :mrgreen:

Moi au moins je ne suis pas précoce. ;)

 

"On dit de moi que je suis bon au l... aussi !"

 

Bon, j'ai fini mon deuxième chapitre, j'aurai juste quelques trucs à corriger et améliorer je pense, puis ce sera bon ^^

C'est trop lent. ._. xD

 

:P Mais il est plus long et plus... spécial, aussi.

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Okay, si c'est plus long moi ça me va.

 

*keuf keuf*

 

x)

 

Bon, voilà le chapitre 2 du coup :)

Comme je l'ai dit, il est un peu spécial parfois.

 

 

:air: Aërlyn défit le bandage qui recouvrait sa blessure, et sourit en constatant que sa guérison avançait bien. Il fit bouillir de l'eau dont il se servit pour désinfecter un autre pan de tissu qu'il attacha autour de son dos, non sans peine cependant. Alors qu'il rangeait son bac après l'avoir vidé de son eau, des picotements désagréables parcoururent sa main droite, qu'il secoua afin de les chasser. Une chose le perturbait, sans qu'il parvînt à mettre le doigt dessus. Il finit par l'ignorer...

:air: Le jeune homme avait un visage fin, aux traits tirés suite à ces nuits troublées par la douleur de sa blessure qu'il avait récoltée il y a cinq jours. Quelques mèches rebelles de cheveux bruns tombaient devant ses yeux gris-verts dans lesquels brillait souvent une lueur malicieuse, qui, ajoutée à ses paroles, avait souvent poussé ses interlocuteurs à lui demander pourquoi il attachait aussi peu d'importance à sa vie. Ce à quoi il répondait qu'ils se trompaient, et que c'était sa mort dont il ne se préoccupait guère.

:air: Il allait bientôt entrer dans sa dix-neuvième année. Ses parents étaient morts assassinés quelques années plus tôt pour des raisons qu'il n'avait toujours pas réussi à élucider, laissant à Aërlyn et à son frère un héritage assez considérable ainsi qu'un désespoir qui l'était encore plus. Après plusieurs jours passés entre la mort et la vie, il avait fini par accepter les arguments de son frère cherchant à le convaincre de quitter Lyren, sa ville natale, pour échapper aux meurtriers de leurs parents. Il l'avait donc emmené dans cette demeure qui faisait partie des biens des deux défunts, située à deux lieues de Lyren.

:air: Son frère Kali, de six ans son aîné, avait toujours été un modèle pour Aërlyn. Aussi le cœur de celui-ci fût-il brisé une seconde fois quand Kali lui annonça qu'il devrait retourner vivre dans la ville, dix-huit mois plus tôt, la situation politique évoluant dangereusement. Il le revoyait régulièrement, quand ses réserves de nourritures s'affaiblissaient dangereusement et que le gibier qu'il partait parfois chasser se montrait trop prudent. Mais rien ne serait plus jamais pareil...

:air: Ainsi, le jeune homme était seul depuis dix-huit mois, et c'était cette solitude qui, en lui laissant tout le temps dont il avait besoin pour réfléchir, lui rendit sa joie de vivre. Sa maison était une demeure assez riche en intérieur sans pour autant être trop voyante de l'extérieur. Six cercles d'arbres l'entouraient, enveloppant de leur étreinte protectrice la petite étendue herbeuse les séparant de la demeure. Aërlyn s'approcha au fond du jardin, où la couronne végétale était complétée par un petit bosquet où les ramures des arbres s'entremêlaient pour former une voute verdoyante ne laissant passer que quelques rais de lumières formant des flaques brillantes sur le sol.

:air: A l'intérieur de l'abri végétal l'isolant du reste du monde, le jeune homme se sentait en sûreté, et était rasséréné. A l'exact opposé de l'état dans lequel il avait trouvé la Forêt de Saphir lors de son dernier passage... Ce bosquet avait été son refuge de si nombreuses fois quand son moral était au plus bas ! C'était grâce à sa protection, son étreinte rassurante, qu'il avait réussi à évacuer son désespoir en en faisant une source d'inspiration. Grâce à lui qu'il ne voyait plus la perspective de la mort comme un gouffre effrayant mais comme un passage...

:air: Dans ce sanctuaire, coucher ses sentiments sur un papier, voire sur une écorce, l'avait aidé à se relever après les chutes qu'il avait vécues au cours de sa vie... Aujourd'hui, cette corruption, ces ombres dans la forêt le perturbaient beaucoup plus qu'il ne voulait se l'avouer, et s'il était une chose qui pouvait le rendre serein à nouveau, c'était bien se poser dans son sanctuaire et réfléchir. Il s'assit sur un tronc qu'il y avait déposé, ouvrit le coffre où il rangeait ce qu'il voulait conserver, y tira le produit des larmes que les morts de ses proches lui avaient fait verser, et le lut à nouveau.

 

Riant hier, la solitude aujourd'hui me ronge ;

Mon monde en un jour s'est effondré ;

Au cours de ces maudites heures,

Tous m'ont abandonné.

 

Dans la froide étreinte de la solitude,

Oppressé par cette douleur lancinante,

Je sombre peu à peu, entraîné par la mort,

La vie me fuyant ; rien pour la retenir...

 

Tant de possibilités s'ouvrant, une seule se réalisant ;

C'est là le vrai sens de la vie, une chute vers la mort...

La mort n'a qu'un visage, celui d'une vie,

La vie ; celui de la mort...

 

Tout vivant est un défunt qui s'ignore,

La vie n'est qu'un chemin vers la mort...

Tous nos actes sont vains, destinés à l'oubli

Aucune échappatoire n'est donnée ; tous, la mort nous appelle.

 

Tous, nous sommes condamnés,

Seuls certains l'ont réalisé ;

A présent que je tombe, je m'ajoute à leur nombre ;

Mais, aujourd'hui ou demain ; tous, nous irons dans la tombe.

 

Seule une lumière, un éclat de vie

Brille désormais au bout de la nuit...

Je lâche prise, et finalement expire ;

Ou du moins je tente, mais ne sens plus la mort venir...

 

J'abandonne finalement, et ouvre les yeux ;

Ce n'est qu'un pâle rayon, une faible étincelle,

Mais c'est la lumière à suivre,

La lumière de l'espoir.

 

:air: Il s'adossa plus confortablement dans son siège de fortune ; le contact de l'écorce de l'arbre dans son dos lui paraissait rassurant. Mais cette fois-ci, un léger détail l'empêchait d'atteindre cette ataraxie que son sanctuaire lui avait toujours prodiguée : sa main droite le démangeait assez désagréablement. Il tenta pendant une dizaine de minutes d’oublier cette sensation, mais ses efforts restèrent vains.

:air: Dépité, le jeune homme considéra qu’il lui serait inutile de rester ici si c’était pour rester troublé. Il rangea donc le parchemin qu’il avait sorti, referma le coffre, et décida de s’atteler à la tâche qu’il pratiquait depuis six mois déjà : protéger les trois forêts bordant les Plaines de Lyren. Habituellement, cette profession consistait juste à repousser les contrebandiers cherchant à abattre des arbres de ces forêts pour revendre leurs feuilles en prétextant qu’il s’agit d’un remède miracle contre une maladie – l’identité de celle-ci dépendant de l’inventivité des contrebandiers, certains réussissant à aller jusqu’à persuader des habitants de Lyren qu’ils étaient atteints de huit maladies létales et que l’heure de leur trépas était proche. Elle l’avait habitué aux promesses de représailles, menaces de mort et tentatives d’assassinat, mais, n’étant souvent pas seul, Aërlyn avait jusqu’à présent réussi à s’en sortir à chaque fois.

:air: Mais plus encore que protéger ces forêts, le jeune homme ainsi que les autres gardes forestiers, ainsi qu’ils s’étaient eux-mêmes nommés, cherchaient à se protéger eux-mêmes, et l’ensemble des citoyens de Lyren avec. En effet, certaines histoires de la ville décrivaient les atrocités tapies dans et derrières ces forêts, qui n’attendaient que d’être réveillées pour répandre la mort partout où la vie fleurit. Mais leur véracité – pourtant déjà prouvée par le passé – ne semblait pas faire l’unanimité, comme le prouvaient les assauts répétés de ces contrebandiers. Ou bien considéraient-ils simplement les risques de mourir comme trop insignifiants à côté de la fortune que leur commerce leur garantissait…

:air: Toujours était-il que certains ne semblaient pas se soucier des avertissements maintes fois répétés, et que désormais l’une des trois forêts, la Forêt de Saphir, était sous l’emprise d’une force qui dépassait l’entendement d’Aërlyn, et qu’il ne pouvait pas espérer vaincre. Aussi décida-t-il de reporter ses efforts sur les deux autres forêts… C’est alors qu’un horrible doute l’assaillit. Étaient-elles elles aussi contaminées ? La rose noire de la mort allait-elle à nouveau éclore ?

:air: Aërlyn décida de vérifier son pressentiment par lui-même. Prudent à cause des derniers évènements, il considéra que s’encombrer d’une armure ne serait probablement pas une mesure superflue. Le jeune homme s’encombra donc de sa légère armure de cuir, puis rattacha à sa ceinture la dague dont il préférait ne jamais se séparer. Il fourra une gourde, quelques vivres ainsi que des antidotes dans son sac qu’il attacha en bandoulière, puis sortit, secouant sa main droite pour en chasser les vagues de douleur.

:air: Le frémissement des feuilles secouées par le vent sonnait à ses oreilles comme un avertissement…

 

:air: Kan écarta les plus basses branches du pin le gênant dans sa progression, et s’engagea dans la Forêt Brumeuse. Mage de son état, il avait atteint la soixantaine depuis un moment déjà, même si son agilité et son endurance auraient laissé présumer le contraire. Derrière cette forêt se trouvaient les plaines de Lyren, où il devait se rendre afin d’acheter de la poudre d’éolithe au seul alchimiste auquel il faisait encore confiance. Quand il se fut plus profondément enfoncé dans la forêt, il entendit des bruits inhabituels…

 

:air: Aërlyn se recroquevilla encore plus au pied de l’arbre et pressa son bras contre son abdomen qui saignait abondamment. Comment avait-il pu en arriver là ? Si seulement il s’était fié à son instinct… Un nouvel élancement de son ventre le plia en deux. Il voulut crier, n'arriva qu'à émettre un faible gargouillement...

 

:air:Le soleil allait être englouti par la cime des arbres quand Aërlyn pénétra dans la Forêt Brumeuse. Plus vieille que les deux autres, celle-ci devait son nom aux fleurs de brume qui y proliféraient et dégageait des nuages d’une sorte de vapeur grisâtre pour attirer les oiseaux, qui dispersaient ensuite le pollen de ces plantes. Les rayons du soleil couchant teintaient la brume d’une jolie couleur rougeâtre. Le jeune homme s’arrêta quelques instants pour admirer ce spectacle, puis reprit son exploration. Il n’avait rien ressenti de spécial cette fois-ci. Mais peut-être était-ce uniquement parce qu’il connaissait moins parfaitement cette forêt-là que la Forêt de Saphir… Ignorant la douleur qui envahissait à nouveau sa main ainsi que son avant-bras, il escalada les premières branches du pin se trouvant à sa gauche, espérant agrandir ainsi son champ de vision…

 

:air: La lumière procurée par le soleil n’était plus suffisante désormais. Le mage murmura quelques mots à voix basse, et un globe de lumière bleu pâle se mit à flotter devant ses yeux. Les bruits se faisaient plus distincts désormais. Un grondement sourd… Le choc de l’acier contre du métal… Il fronça les sourcils. Il n’avait encore jamais entendu ces bruits ici. Du moins, pas depuis une très lointaine époque... dont le souvenir seul suffisait à le faire trembler. Il courut dans la direction des bruits.

 

:air: Le passé d’Aërlyn défilait sous ses yeux, comme un filet d’eau coulant en accéléré sans qu’il puisse le saisir, seulement le contempler, l’observer s’obscurcir… Il toussa ; un peu de sang franchit ses lèvres. Il voulait lutter contre l’obscurité l’emportant, se battre pour survivre… Mais ses forces le quittaient lentement. Il se sentait faible… Si faible…

 

:air:Marchant prudemment entre les conifères, prenant garde à ne pas écraser les fleurs de brume, il sent soudain le sol se dérober sous ses pieds. Il tenta de se relever, mais ses membres ne lui répondaient plus. Il sentait un lent et profond engourdissement prendre possession de son corps, et un froid glacial envahir ses veines. Il tentait, en vain, de redevenir maître de ses mouvements… et c’est alors qu’il la vit. Une ombre similaire à la précédente, si ce n’est que ses lames semblaient plus ternes, et plus courtes. Le souvenir de sa rencontre avec la première infusa en lui une peur et un désespoir qui agirent comme une purge contre ce poison qui le paralysait. Cette peur se mua en rage sourde quand une nouvelle vague de douleur traversa sa main. Donnant libre cours à ces sentiments, il dégaina sa dague et se jeta sur le monstre.

 

:air: Un voile noir s'étendait devant ses yeux... Il sentait la douleur s'éloigner alors que son énergie s'envolait, comme si elle était secondaire, comme si elle ne le concernait pas... Il crut apercevoir d'autres ombres à la limite de son champ de vision... Comment aurait-il pu en être sûr ? Tout était si sombre...

 

:air:La créature replia ses lames contre son torse, se glissa sur le côté et frappa. Aërlyn esquiva, para la vague de coups qui s’ensuivit, feinta, porta une nouvelle attaque… La créature la bloqua de la même façon et riposta. Aërlyn reculait petit à petit ; la terreur reprenait le dessus sur la colère… L’ombre répondait à chacune de ses offensives par des assauts de plus en plus violents… Son bras faiblissait au fur et à mesure qu’il parait… Il recula d’un pas… D’un autre… Un troisième… Son pied buta contre l’arbre derrière lui. Il bloqua un dernier coup avec l’énergie du désespoir…

:air: Kan bondit pour esquiver une racine, et atterrit dans une clairière où trois ombres avançaient vers un arbre. L'herbe aux alentours était couverte de sang. Il s'approcha prudemment... et vit un jeune homme inconscient au pied de cet arbre. Réagissant instantanément, il le rejoignit et se dressa au milieu des ombres. Il mit un genou à terre, écarta les bras, se concentra, ferma les yeux... Une aveuglante lumière blanche jaillit de nulle part et de partout à la fois, illuminant le moindre recoin de la clairière... Avant de s'évanouir aussitôt. Il ne restait plus une trace des ombres.

 

:air:Le choc réveilla la douleur dans sa main, ravivant sa colère une seconde fois… Il puisa dans des ressources qu’il ignorait posséder, bondit, porta un coup de taille… L’ombre disparut soudain, puis réapparut aussitôt derrière lui. Sans s’arrêter, il infléchit son mouvement et inclina son bras vers le haut. Au même moment, l’ombre frappa… Sa dague traversa le cou du monstre quand Aërlyn sentit une atroce douleur dans son ventre. L’ombre recula en hurlant, croisant ses lames ensanglantées contre son abdomen pendant que sa silhouette se brouillait… Aërlyn tomba à genoux et lâcha son arme, des larmes remplissant ses yeux…

 

Il voit toujours les trois créatures sombres s'approcher de lui. Qu'étaient-elles, déjà ? Il ne le sait pas. Il distingue aussi une silhouette se faufiler entre les arbres. Rien n'avait de sens, de toute façon... Il ne voit plus rien, maintenant... Si, à nouveau cette silhouette. Devant lui, cette fois. Puis une lumière blanche... La silhouette s'approche de lui. Il ne sait pas pourquoi, mais il sent la douleur revenir. Il crie...

 

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La CCF ( Comité de Construction des Florimondla ) ainsi que le CGCMAF ( Comité Général de Construction Mégalomane Appelé Feutarse ) on tous deux décidé deux nouvelles règles de construction :

 

Article 157-2.64 parti 87 alinéa 6 paragraphe 9 :

-A partir de 16 heures tout namnete a droit à son heure de gouter général : par conséquent, tout personne ne respectant pas l' heure du gouté se verra infligé une sanction d' ordre majeur de niveau : pain au lait au nutella !

 

Article 658-54.85b Parti 64-58.233 alinéa 64 paragraphe 492 :

-Si [barrer]un travail[/barrer] une construction en extérieur de nuit n' es pas protégé par un cubo sanctuary, tout namnete a le droit de se retirer jusqu' au levé du soleil ou il devra alors reprendre son poste : aucune poursuite judiciaire ne pourras lui être faite !

 

Merci de votre attention !

 

PS : Ces règles sont réellement applicable sur Minefield :D

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