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Le Flan Formique !


Operamundi
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Pas de soucis Demo, pour tout t'avouer ca m'arrange meme assez vu que non seulement je ne suis pas chez moi, mais en plus j'ai énorméments de sujets de forums, de RP, et de textes de lois à lire, donc j'aurais eu bien peu de temps à consacrer pour te répondre !

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Bonjour a tous.

 

l'assemblée se réveilla, regardant avec attention la petite fourmi.

 

Aujourd'hui, je vais quelques peu changer les règles du jeu. Et pour commencer, j'appelle a la barre mr flipper. Mr flipper, prenez place je vous prie.

 

Les personnes assise au premier rang regardèrent la banane bleue mouillée. Serait-ce cela un dauphin ?

 

Mr flipper a l'habitude de nager dans des eaux troubles, c'est pourquoi il gardera son anonyma et ne révélera pas son vrai nom. Mr flipper, jurez vous de ne dire que le vérité, et rien que la vérité ? La petite fourmi eut comme reponse un miii d'approbation

Soit, mr goo-gle sera votre traducteur.

Ainsi donc, contez nous votre histoire.

 

Un mii strident lui répondit. Le dauphin commençait a conter son histoire... le traducteur, les joues rouges et la gorge en feu, avait visiblement du mal a tenir le rythme.

 

- je me promenait le long des littoraux de Nîmps, à gober quelque poisson passant par là lorsque soudain, un vieux pécheur m'attrapa dans ses filets, et m'enmena dans sa petite cabanne, construite sur le flanc de la falaise séparant la mer du sol, ou de la terre comme le disent les puristes. Il me jeta sur une table et fit un bon feu.

Il y mit une marmite dans laquelle se mélangeaient eau et

aromates. A chaque poisson qu'il mettait dedans, je sentais mon esperance de vie diminuer.

 

Mais non, il ne s'approcha pas de moi. Il s'assit, et me regarda. De temps en temps, il se levai et allais tourner la soupe avec une cuillière. Il prit ensuite une plaque de bois creusé, dans laquelle il la fit couler. Il mangea sans me quitter des yeux. Une fois le liquide entièrement avalé, il posa l'objet de bois dans un pot rempli d'eau. Ensuite, il parla:

"Écoute jeune dauphin ! Je ne t'ai pas mangé. En échange, je voudrais que tu me fasses une faveur. Je veux que tu retiennes ce que je vais te dire, et que tu contes cette histoire aux autres hommes, ceux qui habitent de l'autre coté de l'océan. Moi, je ne peux pas. Une menace pèse sur ces plaines, et je ne vais pas m'en cacher. Je vais ainsi te conter mon histoire: j'étais jeune à l'époque, et j'appartenais à l'élite. Seuls les empereurs pouvaient braver ma volonté. Je participait à l'élaboration du monde tel qu'on le connaît aujourd'hui, section fondue et tapette à mouche. Mon equipe travaillait sur des projets interdits à long terme et à long terme. Nous avons inventé l'arme suprême aux champignons atomiques. Le plus dur était de mettre les champignons dans le tupperware.. un jour, nous avons créé le flan. L'arme de dissuasion massive par excellence.. nous en avons lâché dans les caves, en tout liberté. Puis nous sommes passés à d'autres projets. Lors du procès du grand miu, notre équipe fut condamné à l'exil. Notre laboratoire fut condamné, et abandonné.

 

Mais grâce au système de videosurveillance, je peux affirmer que certains de nos projets ont continué à se développer, dont les flans !

 

En l'absence de nourriture, ils s'entre-dévoraient pour leur survie. Or un jour, un mineur imprudent fit une ouverture dans cette caverne, libérant ainsi les flans, où slime comme on les appelle aujourd’hui, qui sortirent vers la liberté, gobant le mineur au passage.

Aujourd’hui, les slimes se sont développés dans les cavernes et les grottes, se nourrissant d'aventuriers et de mineurs.

 

Maintenant va ! Va conter cette histoire, pour que personne ne reproduise la même erreur; sort pas la fenêtre et saute, tu tombera directement dans l’eau. Adieu.”

 

je regardai l’homme, seul les cris des kikoos résonant dans la pleine venait perturber le silence de la cabane. L’homme se leva, et s’appuya contre la porte. Entendant les trololol des kikoos qui se rapprochaient de la cabane, je sautait par la fenêtre et tombait dans l’eau, au moment où la porte craqua sous les assauts répétés des engeances. Je vis leur regard hagards, assoiffés de sang.

 

Le traducteur s’arreta, et en un souffle, balbutia qu’il avait fini. Il s’écroula ensuite, tel un ballon de baudruche. L’assemblée regardait le dauphin, impressionnée

 

La jeune fourmi reprit la parole, captant ainsi l'attention de l’auditoire:

 

“Ainsi, ce dauphin, source fiable, vient de nous dire pourquoi le flan doit être évité de toute urgence, et sa création, trop risquée, interdite.

Merci de votre attention”

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Oh ! Ooooh !! OOOOOOOOh !!!

 

Alors là, tu m'épates Demo. ;)

Mais soit ! Plutôt qu'au débat argumenté tu préfère le texte inventif ? Dans ce cas, je vais me faire une joie de t'apprendre pourquoi j'ai toujours adoré écrire, et je vais de ce pas t'apprendre le sens du mot "pavé" !!! :twisted:

 

*Mode SL² ON !* :twisted:

 

Mouahahahahahahahahaha !!!!! :twisted:

 

Hum hum...

 

Bref, bon jeu. ;):twisted:

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C'est pas mal dem0, d'ailleurs c'est une bonne initiative de changer un peu le terrain, mais si l'absurde est en général une bonne idée, il ne faut pas non plus que ça en devienne incompréhensible, sinon ce n'est plus drôle ;)

 

Et au fait, t'as fait une faute à ton "flanc de colline" et je ne pense pas que c'était voulu ;)

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:air:« - OBJECTION !!! »

 

:air::air::air: La porte du tribunal venait de s’ouvrir avec fracas. A son entré, le jeune Dom se tenait, essoufflé par sa course, l’œil vif, et regardant Demo d’un air de défi. Il s’avança d’un pas résolu vers l’assemblée, et lui fit face. Jesolas, qui présidait d’un air endormi la séance, se redressa, intrigué. Tous retenaient leur souffle, et Demo, transpirante et paniquée, sentait son cœur battre la chamade.

:air::air::air: Le nouvel arrivant éleva la voix, d’un ton grave et sévère :

 

:air:« - Messieurs les jurés, et vous, très cher public, je suis venu en urgence pour arrêter ce qui aurait été une terrible faute de notre part à tous ! En effet, cet homme nous ment tous, et sa fourberie si bien dissimulée vous a malheureusement atteinte. Je suis donc parti à la recherche de la vérité, et la vérité se trouvait en partie dans un placard. Mais je reviendrais là-dessus un peu plus tard, dit-il, lançant un regard accusateur sur la jeune fourmi qui se tenait près de lui, presque calme à présent.

 

:air:- Mais, intervint Jesolas, que veux-tu donc dire là Dom, es-tu devenu fou ? N’as-tu pas écouté le témoignage de Mr Flipper ? Il est amplement convainquant !

 

:air:- Bien sûr que si, je l’avais même entendu avant cette audience. C’est pourquoi je suis allé chercher la vérité. Et celle-ci est que tous ces faits sont faux, sans exception ! »

 

:air::air::air: La salle fut remplie d’un brouhaha sans nom, chacun étant consterné par l’accusation. Elle était en effet très grave, tout le monde sachant parfaitement que le problème des Slims était loin d’être résolu. Jesolas frappa trois fois de son marteau en bois de chêne le socle déposé sur le bureau :

 

:air:« - Silence ! Silence j’ai dit !! Merci… Bien, Dom, cette accusation n’est pas sans gravité, alors quelles preuves as-tu à nous offrir ?

 

:air:- Mes recherches. Mes longues recherches sur le fin mot de cette histoire, et qui m’ont mené bien prêt de la mort. Mais laissez-moi donc vous conter tout ceci :

 

:air::air::air:« J’avais donc entendu parler de la fière croisade de Demo_Crite contre le flan. Etant moi-même un grand amateur de flan, j’étais intrigué par cette soudaine animosité. J’ai donc décidé de lancer des recherches. Un jour, après quelques semaines d’infructueuses recherches, un de mes informateurs est entré en coup de vent chez moi, m’informant qu’il avait trouvé une source qui paraissait bien plus crédible que tout ce que nous avions pu trouver jusqu’à présent. Je décidais donc de me rendre moi-même sur place pour mener l’enquête. Rassemblant tout un attirail de ce que je jugeais nécessaire à ma quête, je me mis en route.

:air::air::air:« Mon contact m’avait parlé d’une réserve secrète en marge de la cité de Bel-O-Kube. Je me rendais donc sur le lieu indiqué. Celui-ci se trouvait dans une petite clairière discrète, où je devais trouver une entrée secrète. Je me mettais donc en quête d’un quelconque levier me permettant d’ouvrir la porte cachée que je devais découvrir. Rien. Rien durant de nombreuses minutes passées à explorer chaque arbre, chaque buisson, chaque parcelle de terrain. Mais soudain, j’entendis un léger bruit de glissement en provenance du centre de la clairière. La nuit commençais à tomber, mais la lune, presque plein, offrait encore une excellente visibilité, surtout pour une fourmi. J’étais caché dans un buisson, attendant de voir ce qui allait se produire. C’est alors que sortirent d’un trou de deux cubes sur trois deux vampires. Deux horribles vampires, probablement tout droits venus de la ville immonde située à proximité et qui les abritaient tous. Je décidais d’écouter rapidement leur conversation :

 

:air:« - Les recherches avancent vite, dit le premier. Nous pourrons bientôt créer de nouveaux mutants, plus puissants et moins sauvages. Nous serons très vite en mesure de lancer une attaque.

:air:-Exact, dit le second, cependant il faudra vite éliminer ce sale espion, il risquerait d’aller donner l’alerte chez ces petites pauvres fourmis.

 

:air:- Ne t’en fais pas, je m’en occuperais rapidement, juste après le repas. C’est soupe de sang aux grumeaux ce soir !

 

:air:- Hum… J’ai hâte ! »

 

:air::air::air:Révulsant un frisson de dégoût, je m’approchais discrètement des deux créatures qui me tournaient le dos, discutant toujours au clair de lune. La sécurité de Bel-O-Kube était en jeu, il me faillait intervenir sans délais. Ramassant sur le sol une massue de fortune, j’entrepris de neutraliser les deux gardes. Me relevant sans bruit, j’assénai un violent coup sur le crane du premier, puis après avoir fait un rapide croche patte au second, je me ruai sur lui, sans bruit, et lui effectuai une technique non létale. Il fut bientôt inconscient.

:air::air::air:Je m’engouffrais ensuite dans le trou secret, me déplaçant vite et silencieusement. Les tunnels parfaitement réguliers étaient un véritable dédale. Je me déplaçais donc à l’instinct, laissant derrière moi des indices de temps à autre, pour être sur de retrouver mon chemin. Les vampires avaient parlé d’un espion, j’essaierais donc de le retrouver dès que j’en saurais plus.

:air::air::air: Je m’approchais d’une lumière rouge, qui se situait au bout du tunnel. J’entrais bientôt dans une grande salle, dont les murs, entièrement blancs, étaient rougis en totalité par les dizaines de torches rouges qui se trouvaient ici et là. L’entrée de la salle était située en hauteur, au niveau d’une sorte de chemin qui faisait le tour de la salle circulaire. Je m’adossais rapidement à un muret, et épiait la conversation de deux de ces ignobles créatures qui discutaient paisiblement en dessous. L’un d’entre eux portait une longue veste blanche assez étrange, et portait dans ses mains un bocal rempli d’une chose informe et inconnue. Ou du moins, la faible luminosité m’empêchait de discerner clairement sa nature. Près de l’entrée – ou de la sortie – qui se trouvait en dessous, deux gardes en armure et armés de lances acérées montaient consciencieusement la garde. Un autre arrivait par le chemin de ronde où je me trouvais. Je commençais donc à tourner rapidement dans le même sens que lui pour le neutraliser. Pendant ce temps, les deux immondices parlaient en dessous.

 

:air:« - Et alors professeur, en quoi consiste cette nouvelle arme ?

 

:air:- Et bien colonel, c’est très simple. Nos espions nous ont affirmés que ces idiotes de fourmis raffolaient du flan. Il nous suffit donc de piéger sournoisement leurs friandises favorites. Et ceci est exactement ce qu’il nous faut.

 

:air:- D’accord, d’accord, vous m’avez déjà expliqué tout cela. Mais le Général veut des réponses. En quoi consiste exactement ce « flan piégé » ?

 

:air::air::air:Je m’approchais du garde et le maîtrisais en silence tout en continuant d’épier la conversation. Cela devenait très grave et urgent.

 

:air:- Et bien voyez vous colonel, ce flan est spécial. Il pourra en effet grandir dans leurs réserves. Une fois qu’il aura atteint une taille suffisante, il pourra aisément les tuer sans pitié, tout en continuant à se multiplier. Et de plus, il est très difficilement tuable : dès que l’on le tue, il peut se diviser en plusieurs parties plus petites pour survivre ! C’est l’arme ultime contre ces fourmis !

 

:air:- Bien, fort bien… Le Général sera content. Je vais lui apporter la nouvelle de ce pas. Continuez sur votre lancée professeur, vous contribuez à la gloire du Vampire Bund. »

 

:air::air::air:C’était en effet très grave… Il me fallait trouver cet espion, et vite, puis alerter Bel-o-Kube en urgence. Je commençais donc à me diriger progressivement vers la sortie, prudemment, la main sur mon épée.

 

:air:« - Alerte ! Un intrus est dans la salle, cria soudain un garde derrière moi, dégainant son épée. »

:air::air::air:J’étais repéré… Je dégainais donc moi aussi mon épée, puis parais le coup vertical de mon adversaire. Après lui avoir résisté quelques instants, je retirais mon épée et le laissais perdre l’équilibre sur l’avant. Un coup de la garde de ma lame dans l’estomac, et un coup du tranchant de la main sur la nuque, et il s’effondrait, inconscient. L’un des gardes situé en bas courait vers un bouton qui servait probablement à déclencher l’alarme. Son collègue grimpait par une échelle pour venir m’accueillir avec courtoisie. J’accourais vers l’échelle en question, et me laissait tomber sur le garde penaud, l’assommant de mon poids, et me servant de lui pour amortir ma chute. J’accourais vers le second, appuyais le bouton de fermeture d’urgence des portes, puis tranchais de justesse la main qui allait appuyer sur le maudit bouton. Ce n’était pas grave, c’était un vampire, il survivrait, et elle repousserait. Un bon coup de talon dans la mâchoire l’envoya au pays des rêves et lui fit passer l’envie de hurler. Je m’emparais d’un maillet qui traînait et ôtait les quelques neurones restant au colonel qui me courrait désespérément dessus. L’entraînement d’Oxnerol avait décidément porté ses fruits.

:air::air::air:Je me dirigeais après un soupir vers le professeur apeuré, qui s’était réfugié sous un bureau. Je lui prenais le col de sa blouse, et je le collais au mur.

 

:air:« - Pitié, pitié, ne me faites pas de mal, implora-t-il !

 

:air:- Cela ne dépend que de toi. Quand ces créatures verdâtres seront-elles libérées ? Et où se trouve l’espion que vous avez capturé ?

 

:air:- Mais… Mais je…

 

:air:- Répond moi, ou tes doigts risques de se retrouver en miette.

 

:air:- D’accord, d’accord ! Je vais parler ! Nous en avons déjà libéré quelques-uns dans quelques cavernes pour savoir comment ils se comportaient. Nous les avons appelés Slims… Mais je pense que beaucoup se sont échappés, ils se multiplient très vite…

 

:air:- Je vois… Et le prisonnier ? Je veux l’itinéraire précis… Et pas de mauvaise blague !

 

:air:- D’accord, d’accord, je vais tout expliquer !

 

 

:air::air::air:Après son explication, je partais avec hâte vers les cachots. Il me fallait sauver ce pauvre infortuné. J’empruntais le chemin que m’avais indiqué ce pauvre fou avant que je lui fasse rencontrer le sol dur et froid pour quelques heures. Je croisais quelques patrouilles, mais j’eus rapidement fait de les envoyer dire bonjour aux petits oiseaux. Ils n’étaient décidément pas très coriaces. J’arrivais peu après devant une lourde porte de bois cerclée et renforcée d’acier. Elle était verrouillée. Je n’avais pas pensé à prendre la clé à cet imbécile. Je fouillais donc dans ma besace. Il ne me restait que peu de temps, tant pis pour la discrétion. J’avais de toute façon piégé tout le laboratoire et les réserves de Slims. Je déposais un petit bloc de TNT portatif sur la serrure. Elle ne tiendrait probablement pas. Je lançais la mise à feu. Une forte explosion retentit. La serrure était totalement détruite, et la porte s’ouvrait légèrement. Je n’avais plus qu’à entrer.

Personne à l’intérieur. Toutes les cellules semblaient vides. Tout au fond de la grande pièce, se trouvait un bassin rempli d’eau. Près de lui, un garde, endormi profondément, une bouteille vide à la main. J’avais décidément de la chance que le soldat de garde ait bu un ou deux coups de trop. A l’intérieur de l’aquarium géant se trouvait une étrange créature gris bleutée, semblable aux bananes dont raffolent les Symiens, mais en nettement plus imposant. J’en avais entendu parler. Dauphin était le nom qu’on leur connait si ma mémoire était bonne. Je tentais de communiquer avec lui. Il semblait comprendre l’écriture, je tentais donc de communiquer avec lui en lui écrivant des questions. Il s’agissait bien de l’espion, et il avait pour but d’avertir Bel-o-Kube après avoir écouté le récit d’un vieux pêcheur qui avait travaillé dans ce laboratoire. Seulement il avait été pris, et sa nageoire était brisée. Il avait été torturé. Je m’empressais de le faire sortir. Une fois dehors, je l’installais dans un chariot de fortune, rempli d’eau, et je me dépêchais de rapidement retrouver la sortie. Derrière moi, je semais régulièrement de petits explosifs destinés à endommager sérieusement l’endroit. Les patrouilles étaient apparemment occupées ailleurs, et nous n’en avions rencontré qu’une seule au cours de notre fuite. Une fois dehors, je m’empressais de faire de cet endroit un beau feu de joie. Il semblait que la plupart des occupants se soient enfuis. Une fois ma besogne accomplie, je ramenais le pauvre à ma bouzble de Bel-o-Kube, et soignait ses blessures. Je savais que l’assemblée où nous nous trouvons tous actuellement avait lieu. Je me décidais donc à y emmener mon nouvel ami Flipper que je venais de sauver. Il pourrait témoigner. »

 

 

:air:« - Ainsi donc, c’est à vous tous que je m’adresse ici. En effet, le dauphin qui témoigne ici devant vous est un imposteur, et notre pauvre Demo s'est fait abuser par cette ignoble créature ! N’avez-vous donc pas remarqués qu’il survit sans aucune gêne à l’air libre ?! Et donc, je vous demande, messieurs les gardes, d’arrêter ce malfrat, car voici le vrai Mr Flipper, qui pourra témoigner de la fourberie de ce traitre ! »

 

:air::air::air:Sur ces mots, la porte de la salle s’ouvrit avec fracas. Un aquarium sur roulettes, poussé par deux fourmis, entra dans la salle sous le regard médusé de l’assemblée. A l’intérieur, Mr Flipper, sa nageoire bandée, trônait avec fierté. Le renégat, paniqué, ôta son déguisement et pris la fuite. Des gardes l’interceptèrent alors qu’il essayait de sauter par une fenêtre. C’était un vampire, habillement déguisé. Mr Flipper pris ensuite la parole, sous la traduction du bon Goo-gle, qui avait décidément plus de temps pour traduire. Après avoir écouté le long récit du dauphin, on interrogea le traitre vampire, qui avoua tout. Demo_crite était ébahit. Jesollas éleva enfin la voix :

 

:air:« - Je vois en effet que tes arguments et tes preuves sont quelque peu indiscutables Dom. Elles sont du moins très convaincantes. Il est aussi très clair que le flan est très bon, mais que ces sales vampires ont créés ces horreurs de Slims. Heureusement qu’ils ne vivent que dans de grandes cavernes, nous n’avons pas grand-chose à craindre. Cependant, nous devrons rester prudents envers le Vampire Bund désormais... Tu as en tout cas bien servi Bel-o-Kube Dom, tu as toute notre gratitude. »

 

:air:- Merci, votre honneur, de votre confiance, ajouta Dom Fulmen. »

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Ah ok, tu veux jouer à ça ? Tu as osé me faire parler et me mettre en scène dans ton rp, saches que tu vas le regretter ! Mais avant, je dois trouver une solution pour me sortir de la situation dans laquelle tu m'as placé... Grr :evil::evil:

 

EDIT : En plus je vois que tu as fait de la pub partout :evil::evil::evil::evil::evil:

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Yop !

 

Je l'espère mon cher Arthur, j'ose espérer que vous prenez tous autant de plaisir à lire ce petit pavé que j'en ai eu à l'écrire durant les deux petites heures que j'y ai passé. ;)

(D'ailleurs ça me fait doucement rigoler, la longueur de mes pavés augmente avec le temps... je suis passé de une page et demi, à deux, puis deux et demi, trois, et maintenant un peut plus de quatre... Il va peut-être arriver un jour où je vais me retrouver avec une réponse forum de 15 pages, qui sait. (En tout cas ça me ferait bien rire !))

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Voila exactement ce qu'on pouvait attendre de ce débat. D'abord, Dem0 ouvre les hostilités avec un récit totalement absurde, mais drôle. Et Dom réplique en enchérissant, avec une histoire très RP, pleine d'aventure, beaucoup plus cohérente, et qui arrive même à faire le lien avec le premier récit.

 

Juste bravo, et bon courage à l'opposant pour faire mieux ;)

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Yop !

 

 

Surtout que si il compte gagner ce débat, il devra d'abord trouver comment me décrédibiliser alors que le coupable n'est pas le Flan, mais les vampires, et que j'ai mis à jour son seul témoin véreux. ;)

 

J'ai hâte de voir ce qu'il va répondre, en tout cas j'ai déjà plein d'idées qui germent dans mon esprit. :P

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/me se balade sur le forum de BoK...

 

/me retombe sur le sujet du Flan...

 

/me décide d'aller chercher une grue pour déterrer le sujet.

 

...

 

Demooooooooo ? Tu me réponds quaaaaaaaaaand ??? :mrgreen::D:lol:

 

/me s'enfuit avant que Demo ne voit le message et se mette à me poursuivre en mode "Pacontant".

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