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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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Je me pris l'attaque de plein fouet, le bouclier résista au choc du dragonnier mais me pris beaucoup trop d'énergie à résister. Je le relâcha donc une fois le choc avec le bouclier fini, mais j'ai eu tort. Le dragon nous envoya alors un torrent de flamme qui nous engloutit tout deux. Étant toujours sonnée par le choc je prononça maladroitement les notes destinée à faire disparaître le feu. Le feu s'amplifia de diamètre avant d'imploser sur lui même, j'avais juste assez de temps pour remettre en place le bouclier du cerf.

Je valsa en l'air, totalement sonné par le choc de l'explosion. J'avais prévu une contre attaque qui tomba à l'eau à cause d'une mauvaise note…

 

HRP : Oui je fais mes rp avec des lancé de dés x3

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Sérieux?! Omg pas mal o.O

 

 

Pas prévu ça... Mais cela n'avait aucune importance, j'avais réussi à incorporer à mon Aura le souffle enflammé incontrôlé résultant du blocage du Rôdeur et j'y avais à présent emmagasiné une quantité non-négligeable d'Energie que je me devais d'employer au plus vite, elle n'était en effet pas très stable puisque n'émanant pas d'une source elle-même stable et je risquais à tout moment de la voir se retourner contre moi. Je me propulsai alors vers l'avant avant de prendre une impulsion considérable et de m'élever dans les Airs, à hauteur du Rôdeur. Entre-temps je m'étais pratiquement transformé en un fer de lance géant et enflammé, et avais dégainé mes Lames... Zéphyr n'était pas non plus à la traîne et vint se placer presque sous le Rôdeur dans le but de le cueillir sitôt que la gravité reprendrait ses droits impériaux...

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L'impact fut brutal, et je fus étonné de la résistance du bouclier du Rôdeur. Je le projetai vers Zéphyr de deux vrilles rapides et consécutives et ce dernier se chargea de le plaquer au sol du plat de sa Lame pour ne pas le tuer sur le coup. Etant donné qu'il n'avait plus l'air en très bon état nous nous reculâmes quelques peu, attendant de voir quelle serait sa réaction...

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Narrateur  : "Aujourd'hui dans cette séance de thérapie des Glaciers Anonymes nous acceuillons un nouveau membre ! Ce Chat !" Le narrateur pointa à ce moment une petite statue de chat en glace. L'assemblé parut surprise ... "Je fatigue ...." déclama le narrateur en s'enfoncant la tête dans ses bras.

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Narrateur : "Je suis fatigué ... vous savez quelle age j'ai aussi ?" En attendant la réponse de Dom il s'assit plus confortablement à sa table et se servit une nouvelle tasse de thé, tout en faisant signe à Dom de le rejoindre si cela lui faisait la moindre envie. "En plus j'ai perdu Ciel, cela fait quelque jour que je ne l'ai pas vu. Et je suis donc obliger de tout gerer moi même. Pas que ce soit compliquer, c'est juste trop simple." Effectivement on pouvait voir de part moment un plateau d'argent fusait d'un bout à l'autre de la salle.

 

 

P.S : bon, lesm ecs, votre combat s'eternise du coup j'avance un peu le fil temporel.
*calin*
P.P.S : les travaux de la Glacerie IG avance bien, ouverture prévu pourl es fêtes de fin d'année.(en tout cas d'une partie)

 

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[hrP] Ah oui mince faut finir ce combat ! [/hrP]

 

   Je rouvrais lentement les yeux, tout en brisant mes vieilles articulations, mon regard balaya le champ d'entrainement jusqu'a poser mes yeux sur ce qu'il me semblait être mes ennemies. "Je vous avoue chère dragonnier que ma langue à fourchée." Je me releva lentement tout en fixant des yeux mes deux adversaires. D'un sifflement, mes égratignures s'envolèrent et dans un flop sourd je me sentais à nouveau prêt à combattre. "Prêt pour un deuxième assaut ? Je suis un peu occupé en ce moment donc je vous avoue que finir ça rapidement m'arrangerait, dis-je en esquissant un sourire." Je cracha un filet de sang à terre avant de disparaitre dans un souffle puissant de vent sec. Mes jambes me paraissait lourde, c'était bizarre... Surement un effet secondaire de mes soins. Je me dirigea directement vers l'arrière de mes deux ennemies tout en emportant avec moi un courant d'air puissant.

Tout se passait désormais très rapidement, mon rythme cardiaque avait doublé ses battements. Après ce combat je devrais peut-être prendre quelques pilules avant que je ne dégénère.

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-Eh bien, je ne te pensais pas si résistants, impressionnant...

 

Je n'aimais pas ces attaques furtives, elle ne me donnait qu'une envie: brûler la zone pour faire sortir l'adversaire de sa cachette, sans doute l'influence de Zéphyr... Quoiqu'il en soit il nous fallait être prêts à tout et j'improvisai une plateforme de pierre surélevée d'un peu plus d'un mètre afin de gêner le Rôdeur dans son offensive. Zeph' me rejoignit d'un bond et nous dégainâmes ensemble nos Lames que nous avions temporairement  remisé au fourreau en attendant que se relève le Musicien...

Le souffle d'air n'était pas un problème, je l'incorporai à notre Aura sitôt qu'il passa sur nous, un peu d'Energie supplémentaire était toujours bon à prendre...

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Je répondis à l'invitation et versai un peu de lait dans le thé avant d'y goûter. « Si c'est trop simple, rien ne vous empêche de servir les clients à l'ancienne. Quant à l'âge, je connais, dans une certaine mesure. » Je haussai les épaules et laissai flotter le silence quelques instants. « Je vois difficilement comment vous auriez pu "perdre" Ciel, en revanche. »

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Narrateur : Il ne fit pas attention à la première réponse de Dom, quoi qu'il pensait, il devait encore s'en tromper d'une éternité. Quand à la seconde "Justement, moi aussi je vois mal comment je l'ai perdu. Il a tout simplement disparu dans la nuit ... Je ... Je ne sais pas ou il est parti." Il se resservi une tasse de thé, le fil d'écoulement du thé était étrange, on eut dit qu'il s'écoulait en remontant ...

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J'entrais dans cette taverne qui me semblait fort peu accueillante. Le voyage m'avait fortement fatigué et j'avais grand besoin d'un peu de temps pour moi. Dans ma quête sans fin, j'avais oublié qu'il était bon de faire quelques pauses. Je réarrangeais mes cheveux d'un blond presque blanc avec hâte et époussetais ma veste de lin marronné. Claquant la porte derrière moi, sans ménagement pour celle-ci. Je m'arrêtais à la vue de tout ce monde. Et toussais discrètement pour qu'on ne me remarque. Je n'étais sans doute pas un homme à faire polémiquer, mais j'avais bon a penser qu'il fallait parfois faire ses marques. Je m'avançais vers le comptoir qui me paraissait plutôt chaleureux, enfin si on veux, et avec une voix claire mais sombre dans des tons presque grave, je présentais mes salutations au serveur.

 

" Bonjour... Je... Prendrais un verre d'eau s'il vous plaît. "

 

En le regardant, je me laissais a penser a ma fille. Me retournant, je croisais le regard d'un homme sans âge à la chevelure blonde. Il me rappelle tellement elle...

 

[Je m'invite ici avec mon nouveau perso. C'est ni Pimoussy, ni Trisha. J'vous laisse le plaisir de le découvrir. *fuit*]

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Narrateur : "Je sais qui il est" Dit tout bas le narrateur. Il était incroyable dans son esprit qu'il soit ici, maintenant, à la suite des évennement actuel... et pourtant ... Le narrateur envoya le plateau pour lui servir son verre d'eau avec gravé dans le fond du verre : "Bonjour mon vielle ami ..."

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Je levais les yeux vers le narrateur et esquissais un sourire. Cela faisait plaisir de voir un vieil ami. Je le regardais las, mais content. Je pris le verre et regardais l'inscription à l'intérieur. Je soupirais longuement et posais mes yeux sur lui encore une fois.

 

" Cela fait longtemps. Tu dois te souvenir de moi. Edward Curtis. "

 

Je riais a demi-silencieusement. Replaçant dernières mes oreilles elfiques une mèche de cheveux. Puis levais le verre à mes lèvres fines. Je goûtais à ce délicieux et simple breuvage.

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Narrateur : Il se leva pour allez se placer à sa droite : "Tu as prix un coup de vieux si tu veux mon avis. Que viens tu faire ici ?" Le narrateur ne savait pas exactement pour qui s'en faire ... pour deux abrutis qui se battaient dehors depuis plusieurs jour ? Pour Ciel ? ou pour ce vieille ami ? Aucune idée ... il supposait néanmons qu'il le saurait assez tot.

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Je soupirais longuement. Avant de poser encore une fois mon regard sur mon vieil ami le narrateur.

 

"Un coup de vieux ? Sans doute. Je ne suis pas à cent années près."

 

Je me laissais a rire, puis toussant je repris un air grave.

 

"J'ai beaucoup de choses à faire ici. J'ai parcouru des mondes. Vu bien des chemins. Mais... Mon but reste le même. Et j'ai bien peur..."

 

Je levais une dernière fois mon verre avant de le vider d'un seul trait.

 

"Et toi ? Que deviens-tu ?"

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Narrateur : "Avant de te répondre ... répond moi encore à cette question ... Quand est-ce la dernière fois que tu m'as vu ?" Peut être lui l'avait-il en dernier vu il y a un siècle ... mais le Narrateur ... peut être l'avait-il plus récemment vu enfant ... et plus anciennement adulte ... les récits vont et viennent ... et ce narre parfois dans un sens moin classique ... Si par malheur le Narrateur racontait un évenement qu'il n'avais pas encore vécu ... ou qu'il ne connaitrait jamais ... il pouvait briser son histoire ... Un art et vie dangereux que de narrer ...

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La question du narrateur me laissait sans voix. Depuis combien de temps ne l'avais-je vu ? Sans doute au moins... Quelques siècles. Juste avant qu'elle... Ne disparaît. Je déglutissais difficilement à la pensée de... Non... Je secouais la tête légèrement, comme pour essayer d'effacer cette image de ma tête. Le regard fixé sur le bar devant moi, je répondis à cet homme sans âge.

 

"Cela doit bien faire quelques centaines d'années. Tu sais, j'ai perdu le fil du temps. Elle était là. Te souviens-tu d'elle ? Ma... Meira..."

 

Je pris le temps de me recoiffer encore, plaçant çà et là les mèches rebelles qui fuyaient mes oreilles pointues.

 

"Surement ici... Surement ailleurs. Mais le temps fil si vite qu'on ne compte plus les heures."

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Narrateur : "Comme toi, Meira fait parti de ces personnages que je n'oublie pas. J'ai la mémoire infaillible d'une infinité d'infinité d'histoire ... mais il éxiste des personnages dont le souvenir reste immuable ... et dont on se souvient chaque jour ..." Après un petit instant à penser à ce qu'il avait dans son gilet il reprit : "Pour te répondre, cela va bientot faire six mois que je suis ici, que je "travaille" dans cette glacerie. Ici se croisent des personnages venant de multiple histoires actuel se passant dans les annés de ce plan ... c'est raffraichissant et moin fatiguent que de voyager d'une histoire  l'autre sans se poser à la croisé des récits." Il n'y eu qu'un seul autre endroit ou le Narrateur se posa pars le passé ... Mais ici lui convenait aussi, même si parfois son ancien logis lui manquait.

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Je regardais fatiguer l'homme qui se tenait a mes côtés. J'avais autrefois, il y a bien longtemps, rencontré maintes et maintes personnes, mais aucun n'avait résisté aux aléas du temps. Mortel qu'ils étaient, les humains, tout comme les Ryalkan, mourraient un jour ou l'autre. Et le temps pour moi filait si vite que je n'arrivais pas a profiter de ses instants. La pensée de Meira, cette si belle et douce femme, me hantait souvent. Comme un couteau dans mon cœur. Elle était présente, mais n'était pas réellement là. Je me grattais machinalement le menton, surement dans la quête d'une quelconque réflexion. Cela faisait bien longtemps. Et je n'arrivais plus a savoir si j'étais vraiment vivant. Je n'ai jamais eu cœur a sourire. Mais mon visage trahissait une grande fatigue. Non-physique, mais mentale. De celle qui terrasse n'importe quel humain.

 

"Une personne unique ne s'oublie jamais mon ami. Elle est de celles qui rayonne. Et qui pendant un moment, brille dans le plus sombre des moments. Un sourire dans un flot de larmes."

 

Je baissais les yeux vers mon verre vide. Puis soupirais longuement. J'étais si fatigué.

 

"Mon ami ? Sers-moi ce que tu as de plus fort. J'ai bien peur d'en avoir besoin. Pour une fois."

 

Mes oreilles frémissaient, une vague de fraîcheur m'envahit.

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[hrp] Je crois que je vais devoir m'excuser pour mon retard :3 [hrp]

 

Le dragonnier étant bien placé pour se faire déséquilibré facilement je ne mijotais plus mon attaque longtemps, il fallait que j'attaque. Je ferma mon poing droit et le nuage ambiant se dissipa, pour créer une boule d'air compressée juste devant le dragonnier et son dragon. Mon poing s'illuminait d'une lueur rouge dans un sifflement. Je claqua des doigts et le sol en dessus de mes adversaire de brisa dans un bruit sourd.

Je me dirigea vers eux en courant pendant qu'ils étaient dans les airs. Je me lança dans les airs tout en sifflant pour les immobiliser. Le dragonnier s'immobilisait dans les airs sous mon contrôle et je porta mon point rouge dans son abdomen sous le regard de son acolyte. Une partie de l'armure craquela sous le choc.

Je retombais alors au sol tout en les laissant immobiliser dans les airs, mon sort ne tiendrait certainement pas longtemps, juste de quoi analyser sa contre attaque.

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Je l'avais sentie passer cette attaque... Mais mon état n'était pas critique, et Zéphyr pouvait encore tenir quelque peu.

Malgré toute la force de notre volonté, nos muscles ne répondaient plus et nous ne pouvions compter sur eux pour riposter, nous allions donc devoir innover et tenter quelque chose de nouveau...

Je me retirai dans mon Esprit et m'ouvrit à l'air environnant ainsi qu'aux éléments de mon Armure, je ne pouvais atteindre celle de Zéphyr car elle faisait partie intégrante de son Avatar, elle n'était pas composée que d'Eléments, En me concentrant donc sur ces trois forces de la nature je réussis à me créer une sorte d'exo-squelette contrôlable de la même manière que mes Pouvoirs, je n'en avais besoin que pour sortir de la zone et mettre fin au sort du Rôdeur. De l'extérieur rien n'était perceptible pour quelqu'un qui n'aurait pas été initié à ressentir la puissance primaire des Eléments, mais pour les autres, c'était un déferlement de Puissance qui s'offrirait à leurs yeux, je n'avais en effet rien d'autre que mon Avatar sur quoi me concentrer. Enfin, au bout de quelques courtes secondes, je fus comme libéré de l'emprise de sa magie et fondis sur le Rôdeur plus rapidement encore qu'auparavant puisque libéré du frein que constituait l'air...

 

-Très impressionnant, j'ai du me donner pour en sortir, lui murmurai-je lors de l'impact de mon poing d'air solidifié contre sa protection.

 

Ce dernier avait juste eu le temps de parer grossièrement ma riposte et cela désolidarisa la gangue dans laquelle était alors emprisonné Zéphyr. Il retomba au sol et son image vacilla légèrement lors de sa réception, nous échangeâmes alors un bref regard avant de repartir à l'assaut: il ne pourrait plus maintenir sa concentration très longtemps...

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Narrateur : Le Narrateur n'était pas un homme, ni un elfe, ni un Ryalkan, ni une fourmis, ni une chimère, ni un élémentaire. Son rapport au temps qui passe se limitait presque juste à une page que l'on tourne à la fin d'une histoire. Son histoire à lui est éternel ... sans fin ... comme de début. "Je suis encore désolé pour toi, même après tant d'annés ... Ni toi, ni moin ne pouvions la sauver ... " Puis il alla rapidement vers sa veste pour chercher une petite flask caché dans une doublure pour la posé devant son vieil ami ... accompagné d'un petit verre à shot : "C'est un alcool inéxistant ... le choix s'offre à toi ... sois tu en bois un peu et tu repars pour une dernière valse avec Meira et tu en subis l'unique concéquence, soit je te sers un verre un peu plus classique et tu en subis la concéquence." L'alcool inéxistant n'est pas pour tout le monde, encore moin pour le commun de mortel ... rien qu'une goute peu vous renvoyer une journée dans le passé ... pour la revivre ... Le Narrateur savait presque le choix que son ami allait faire ... mais dans un coin de sa tête il gardait quelqu'un en vue ... du coin de l'oeil.

 

 

HRP ANNONCE : Cher ami il est temps je pense d'instaurer ce qui risque de devenir l'une des rares rêgles ayant cour ici.
Cette regle porte pour nom "La Loi du Temps" et comme son nom l'indique elle consiste à réguler le temps s'écoulant dans cette taverne pour un peu restructurer certain partant en crise de AFK prolongé.
Donc ... cette Rêgle consisterait en grois à : 1 semaine IRL = 1 Jour RP pour éviter que certain action *tousse* combat *tousse* dure presque 3 semaine voir plus de deux mois.
Rêgle à débattre. Merci toute fois de ne pas juste faire un HRP pour un post, essayer d'un peu faire avancer le RP.
Cette Rêgle ne rentrera en vigueur que si elle vous parait, utile/juste/pratique etc.

Merci de votre attention.

 

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Je regardais la flasque devant moi et soupirais longuement encore une fois. La pensé de passer ne serait-ce que quelques secondes avec elle était tellement tentant. Pouvoir la toucher encore une fois. Sentir son doux parfum de violette. Sa longue chevelure que je pourrais caresser. Ses yeux où je pourrais me noyer... Je secouais la tête et lançais un regard sévère au narrateur.

 

"Je sais qu'elle... Enfin... Mais je sais qu'elle est encore là. Quelque part. Et me noyer dans une illusion ne sera qu'un bonheur de courte durée. Je ne souhaite pas la voir une journée. De manière magique. Mais la sauver. De manière durable."

 

Ma voix se voulait sèche et je me contrôlais de ne pas m'énerver plus sur cet homme qui ne voulais que me rendre service. Tant bien même l'offre était alléchante, elle était a double tranchant. Et la perdre une seconde fois, aurait été de trop. Même pour un être immortel tel que moi. Je pointais du doigt la flasque d'alcool classique et souriais tristement.

 

"Je préfère encore celle-là. Un mal de crâne est plus supportable que de revivre le passé sans qu'il ait de conséquence sur le futur."

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Après plusieurs jours, peut être même semaines, sans y être passé; j'enfonçais du pied la porte de la taverne.

Elle était ouverte, et à défaut de tomber sur le sol dans un craquement de bois; elle s'ouvrit en grand et vint claquer contre le mur.

Quand on passe ses journées à enfoncer des portes, on perd simplement l'habitude de saisir la poignée.

- Bonjour tout l'monde !

M'écriais-je tout haut.

Puis, sans attendre, je me dirigeais vers ma chaise habituelle qui prenait la poussière.

Un certain nombres d'évènements inopportuns m'avaient fort occupé ces derniers temps; et j'étais content de pouvoir me reposer un peu,

loin des tambours, loin du clairon, et du bruit des bottes qui frappent le sol au pas redoublé.

Une fois assis, je regardais autour de moi les autres clients. 

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