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[Accepté] Pencroff, Chevalier des Terres du Sud


Pencroff
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In real life:

Je m’appelle Camille (au masculin), je suis né le 14 février 1997 ce qui me donne 19 ans au moment ou j’écris cette candidature. Actuellement, je prépare le concours d’entrée en école d’infirmier ; après avoir fait un an en L1 sociologie. En dehors des stages de préparation au concours qui ne me prennent que deux après midi par semaine, je révise seul ou je fais un peu de bénévolat. Dans un futur plus ou moins proche, j’aspire à être infirmier en milieu hospitalier.

Pendant mon temps libre, Je joue aux jeux vidéos ; notamment Battlefield 1, Grand Theft Auto V, Assassin’s creed Unity, Red dead redemption ou minecraft pour ne citer qu’eux. Sinon, je lis beaucoup de romans de cape et d’épée comme Cyrano de Bergerac (que je vais finir par connaitre par coeur), Les trois mousquetaires, le comte de Monte-Christo, Mathias Sandorf...

ou dans un autre style comme L’ile mysterieuse, cinq semaines en ballon, une ville flottante... et j’en passe !

Que dire de plus, sinon que je suis passionné d’histoire ; et surtout de la période suivant la révolution française jusqu’a la fin de l’empire.

 

In game:

Je suis le Commandant Bonadventure Pencroff, dirigeant de Fort Herobrine et de la prison de Terre-Morne, deux projets à but RP fondés sur Stendel et construits avec l’aide de mes chers camarades de la garde volontaire.

Officier de carrière aussi maniaque que lunatique, j’ai pris pour habitude de faire des cookies pour mes soldats et de leur raconter des histoires pour les endormir, avant de les reveiller à Deux heures du matin à coup de botte pour les faire travailler. 

 

 

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Paysan :

https://www.minefield.fr/forum/topic/45794-présentation-de-evil-fliqpy/?hl=evil_fliqpy

 

Villageois :

https://www.minefield.fr/forum/topic/47194-acceptée-candidature-de-evil-fliqpy/?hl=flippy

 

Citoyen :

https://www.minefield.fr/forum/topic/60234-accepté-candidature-devil-flippy/?hl=flippy

 

Commerçant :

https://www.minefield.fr/forum/topic/60808-acceptétisserand-la-grand-voile/?hl=flippy

 

 

 

 

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Depuis mon arrivée sur Stendel, il y a quatre années de cela, j’ai toujours eu à coeur de servir l’Empire et la communauté qui m’a accueilli  à bras ouverts. Après avoir participé à la bataille de Marie-Nyan-cat comme simple soldat, j’ai fondé mon propre regiment dans les terres hostiles du sud. Durant plus de trois ans j’y ai dirigé des troupes, parfois avec plus ou moins de sérieux ou d’implication, mais toujours fidèlement aux principes de l’empire.  L’accomplissement de mes derniers objectifs et notamment l’obtention de ma licence commerçante me pousse désormais à aspirer au rang de Chevalier, suite logique de mon parcours. Une fois chevalier, je pense m’installer à l’Académie de la chevalerie et utiliser mon second home pour mes activités commerciales, dont les profits iront à mon projet. Ce serait un honneur pour moi que d’arborer le bleu ciel de la chevalerie, et de défendre la veuve et l’orphelin pour la gloire de L’empire.

Pourquoi suis-je faut pour ce rang ?

Les valeurs de la chevalerie me sont très chères ; notamment la droiture, l’honneur et le respect qui en sont trois des principales composantes. Si j’ai l’honneur d’accéder à ce titre, je ferai tout ce qu’il sera possible de faire pour le porter avec dignité et de manière exemplaire. Ce que j’ai commencé en tant que soldat de cavalerie, je voudrais le poursuivre dans la chevalerie.

 

 

 

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Une histoire de dates avant tout :

 

Le 4 septembre 2012, j’arrivais sur Minefield .

A l’époque, je portais le nom ridicule d’Evil_Fliqpy, ce que j’assume moyennement maintenant. Très vite, je me suis installé à Stendel, en banlieue sud, ou ma maison est restée jusqu’à très récemment aux abords de la gare.

 

Le 29 du même mois, j’ai participé à la bataille du fort Nyan-cat parmi les troupes impériales. Cette première expérience militaire jouera un grand rôle dans la suite de mon parcours, aussi anecdotique soit-ce.

 

En novembre 2012, ma candidature villageoise était acceptée ; et je commençais à rassembler une équipe pour la réalisation d’un projet. Nous étions sept, et nous n’avions aucune idée de ce dans quoi nous nous embarquions. Je ne savais encore moins que j’y serais encore aujourd’hui.

 

En janvier 2013, Notre demande de chantier était accordée, et nous commencions à construire ce qui est devenu aujourd’hui le Fort herobrine.

Une caserne militaire située dans un désert isolé du reste de l’empire, uniquement accessible à pieds.

 

Depuis 2013, le fort herobrine a connu de nombreuses modifications structurelles. Le fort en lui même a été rasé pour être reconstruit sur de nouvelles bases, et de nombreux membres se sont relayés entre ses murs. Petit à petit, les terrains disponibles au Sud de la capitale ont trouvés preneurs, et nos premiers voisins ont commencés à s’installer.

 

En fin d’année 2015, il ne restait de la « 1ere équipe » du Fort Herobrine que le capitaine Sissigiroux et moi même. Le projet a, à ce moment là, connu sa plus forte baisse de fréquentation, et nous y étions presque seuls.

 

En janvier 2016, Ma candidature Citoyenne était acceptée ; et un regain d’énergie me poussa à réformer le Fort avec l’aide précieuse de quelques nouveaux membres. Une première vague de modernisation eut alors lieux, visant surtout à améliorer les bâtiments déjà présents.

 

Entre Févriers et Juin 2016, de nouveaux membres vinrent rejoindre nos rangs, et forts de cette nouvelle communauté nous reprenions nos activités RP. Avec ces nouveaux soldats, de nouvelles idées commencèrent à germer. L’idée nous vint alors de fonder un second projet.

 

En juin 2016, Ma seconde demande de chantier était acceptée, et nous commencions les travaux de la Prison de Terre-Morne : un édifice publique dont l’objectif était d’y organiser des évènements RP.

 

En Aout 2016, ma candidature commerçante était acceptée, et je lançais mon commerce Tisserand nommé « La grand voile ». 

 

En dehors de mes activités de chef de projet à Fort Herobrine et Terre-Morne,

J’aide de temps en temps quand on me le demande ; à Middenheim par exemple, ou encore à Asylum, ou je n’ai eu qu’une participation très modeste.

 

Quelques Images maintenant;

 

Le Fort Herobrine, projet fondé en 2013

 

 

 

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La caserne de la Garde Volontaire, 3ème génération du Fort Herobrine. 

 

 

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L'entrée de la caserne, donnant sur le bâtiment du commandement.

 

 

 

 

 

La prison de Terre-Morne, projet fondé en 2016 et actuellement en chantier

 

 

 

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La prison vue de face. Les toits des tours sont encore en chantier.

 

 

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La prison vue par le flanc. La cour intérieure se scinde en deux:

à gauche, la cour des détenus. à droite, la partie réservée aux gardes.

 

 

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L'intérieur de la prison, en cours d'ameublement.

 

 

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Les cellules du sous-sol. Accès à l'eau courante par les infiltrations du plafond

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Le vent, soufflant par l’arrière ; gonflait les voiles du HMS Surcouff. Sur le pont, les matelots et les gabiers ajustaient les diverses pièces de mâture ; espérant ainsi gagner quelques noeuds de vitesse. Cela faisait une semaine que la frégate avait quitté le port de Middenheim ou elle avait été fraichement gréée, et ce voyage devait servir autant à l’amener à son port d’attache qu’à la tester sur les flots. Il fallait dire que ce fier navire était un excellent marcheur, vif dans ses mouvements et doux dans sa tenue face aux éléments. La houle s’était levée dès le début du voyage, mais le tangage ne se faisait pas trop sentir et les voiles, tissées aux ateliers de Middenheim, tenaient bon. La frégate glissait sur les flots tumultueux comme elle l’eut fait sur une mer d’huile. En fait, seuls les torrents de pluie rappelaient aux matelots que le temps était mauvais. Sur le pont, les gardes côte et les gabiers se croisaient, comme des fourmis qui ont chacune une tâche à accomplir, immédiatement suivie d’une autre. Cette mécanique tournait sous les yeux du maitre d’équipage, dont le silence ne se troublait que pour donner au timonier la direction à emprunter. Le soir même, le Surcouff arrivait au port du Fort Herobrine.
On passa la nuit à bord, étant donné que la frégate devait partir en patrouille le lendemain même ; et cette halte ne devait servir qu’à refaire les stocks de vivres et à me débarquer.

Au matin, on me sella un cheval ; et je pus reprendre ma route vers la caserne.
Chemin faisant, je croisais des gardes de mon régiment qui allaient en patrouille sur les terres du Sud, et je les saluait au passage. Voir mes hommes au travail était une chose suffisamment rare pour être remarquée, et je me pris presque à m’en inquiéter. Aussi, arrivé au fort, mon premier reflexe fut de visiter le commandement. Comme il en était l’usage à cette heure du matin, le capitaine
Ghideon et deux lieutenants faisaient le point sur les reconnaissances de la nuit, et ils s’interrompirent pour me saluer, Salut que je leur rendis.
Sur ce, ils reprirent avec moi le point.
- Nous attendions votre arrivée commandant, car la situation est critique.
Me glissa Ghideon. Il poursuivit :
- Une troupe d’infanterie, armée et disposée en ordre serré a établi un camp à l’ouest de notre position. Une de nos patrouilles a tenté de les approcher, mais ils ont été pris pour cible. Nous avons eu deux blessés.
- ont-ils été rappatriés ? et avons nous des hommes disponibles ?
- Les bléssés sont à l’infirmerie. J’ai fait former un escadron de 40 hommes et seller 45 chevaux. Nous allions partir à l’instant.
- Laissez moi prendre mon paquetage, je vous rejoins sur la place d’armes
Terminais-je.
A ces mots, le capitaine et les deux lieutenants rompirent. Quand à moi je me dirigeai d’un pas rapide vers mon bureau. J’y rassemblais mes effets de campagne, de quoi écrire et une gamelle ; ainsi que ma couverture qui m’avait suivie dans toutes mes missions. J’étais content d’avoir pu dormir la veille, on à pas toujours ce luxe dans ce métier. On s’habitue à ne pas dormir plus de deux heures, voir à ne pas dormir du tout. Une fois mon paquetage prêt, je quittai mon bureau pour rejoindre les écuries. Ghideon et ses lieutenants avaient déjà mobilisé la troupe, et nos montures étaient sellées, nous n’avions plus qu’à partir. Le clairon sonna le rassemblement, et j’enfourchais ma monture en criant
- Gardes ! En selle !

 

Puis, une fois tous les hommes montés ; nous partîmes en colonne. A la sortie de la caserne, Je croisai le capitaine Sissi ; de retour de patrouille. Je laissai La colonne prendre de l’avance, le temps de m’entretenir avec lui. Il fut convenu qu’il prendrait la tête d’un peloton de 20 hommes, et de 6 canons ; et qu’ils nous rejoindraient en lieu et place que Ghideon avait indiqué sur les cartes du commandement ; une petite position reculée du sud-ouest Stendelien. C’était là que la troupe devait camper, en attendant une opportunité d’offensive sur cet ennemi qui nous était inconnu. Le rendez-vous pris, je rejoignais la tête de la colonne, pour discuter de la suite des opérations. Lorsque j’arrivais à hauteur de Ghideon, ma montre indiquait Midi.

J’entrepris de faire le point avec lui, espérant qu’il pourrait m’en apprendre d’avantage sur notre ennemi. Malheureusement, il n’avait que les informations que la patrouille avait données en rentrant au fort, et estimait le nombre de combattants hostiles à une cinquantaine. Nous ne savions pas vraiment à qui nous allions avoir affaire, et il était encore permis d’espérer qu’il ne s’agisse que d’un groupe de bandits uniformisé comme il nous est déjà arrivé d’en croiser. Les terres du sud sont très peu peuplées, et ces contrées désertes et boisées font un abri idéal pour les bandits et les mercenaires ; qui sévissent dans tout l’empire. Il pouvait également s’agir de l’armée d’une des nombreuses nations voisines, qui aurait attaqué ce village dans le but de le prendre. Mais dans ce cas, pourquoi s’en prendre à ce hameau ? Il n’avait, visiblement, aucune valeur stratégique. Je dusse me résoudre au fait ; nous n’aurions de réponses à ces questions que lorsque nous serons en face de cet ennemi aux motifs si obscures.

Le temps semblait filer au pas redoublé, et nos montures nous avaient déjà amenées loin de nos murailles. Le jour tendait à baisser, mais je donnais l’ordre de ne faire aucune pause avant d’y être obligés par nos montures. Nous tînmes alors deux heures de plus, avant de faire une halte près d’un ruisseau, presque à mi-chemin. L’après-midi avait été calme, et la soirée s’engageait de même avec un temps idéal pour dormir à la belle étoile. Les tours de garde furent attribués, les chevaux furent attachés les uns aux autres et on fit un feu de camp, pour réchauffer nos gamelles. Le repas se fit dans un silence presque religieux, et nous finîmes par dormir adossés à nos selles. Il faut dire qu’il n’y a pas de nuits plus belles que celles que l’on passe dans l’herbe, à regarder le ciel au dessus de soi, et je me laissais engourdir, puis cueillir par le sommeil.

Dans ces expéditions, le clairon sonne rarement le réveil. C’est comme une étrange mécanique naturelle : la nature se réveille, et nous devons en faire de même. Couverts de rosée, nous décidâmes de nous rassembler près du feu pour prendre un petit déjeuner expéditif, puis nous nous remîmes en selle. La journée promettait d’apporter son lot de rebondissements, et nous espérions arriver à temps pour faire une reconnaissance des lieux et voir notre ennemi. Aussi, je donnais l’ordre de presser le pas. L a colonne marchait bon-train, et je chevauchai auprès de Ghideon, qui semblait absorbé par ses pensées. Nous avancions au bruit des rires et des blagues bon-enfant des soldats, qui sont souvent plus bavards que leurs officiers. Midi passa rapidement, et le soleil au Zénith toisait notre petite troupe. Le chemin était fait aux trois-quarts, et nous étions alors sûrs d’arriver avant la nuit. Sous la bride, je passai la dragonne de mon sabre.
 

 

Dans l’après-midi, les choses semblèrent accélérer. Nous entrâmes dans une forêt dense, et une étrange pression flottait sur nous, comme si nous entrions en zone hostile. Alors que toute la route avait été si tranquille, nous avancions maintenant au pas, scrutant chaque bosquet et épiant chaque ombre. Tous les hommes étaient silencieux, et on eut cru que même les chevaux se faisaient tout petits. Cela, bien sur, ralentit fortement notre progression, et j’étais partagé entre la prudence que cette étrange ambiance m’inspirait, et l’envie de donner du galop pour arriver plus vite. Cependant, je me retins. Vers six heures du soir, nous arrivâmes à la sortie du bois, avec beaucoup trop de retard pour explorer les lieux. La nuit tombait déjà, et finir la route revenait à s’exposer inutilement. Les autres officiers et moi même décidions donc de passer la nuit à l’orée du bois, et de ne finir le chemin qu’au levé du jour. D’abord parce que la forêt nous couvrait, et dissimulait notre présence à d’éventuels éclaireurs ; et ensuit parce qu’ainsi nous aurions tout le loisir de reconnaitre le terrain le lendemain matin, et d’attaquer après le déjeuner. Ainsi, on remit pied à terre ; mais on ne fit pas de feu cette fois.

Le lendemain, à six heures ; nous étions tous levés. Cette fois ce n’était ni le fait de la rosée, ni celui du soleil ; mais à cause de l’anxiété qui précède les batailles. On avait beau se persuader que l’ennemi qui nous attendait n’était que des canailles de grands chemins, quelque chose en nous faisait pressentir un combat d’envergure. Le petit déjeuner passa en silence, et je surpris même plusieurs soldats entrain d’écrire à leur famille. Il fallait remédier à cela, et comme l’action est la réponse à tous les maux, je donnai le départ.
- Escadron ! En selle !
Leur Criais-je, en montant à cheval. Ils en firent autant, et nous partîmes.
Il nous restait encore peu de route, et nous serions arrivés peu avant huit heures.

Le peu de distance qui restait fut vite franchie. Bientôt, nous nous retrouvâmes face à une colline, derrière laquelle d’épais panaches de fumée s’élevaient. Protégés par le monticule de terre, nous ne devions pas avoir été repérés, et j’en profitais par envoyer un éclaireur. Un brigadier se porta volontaire. C’était un fort gaillard, à la mine déterminée et couverte d’une épaisse barbe rousse. Il mit pied à terre, gravit la colline et se posta près du sommet, à plat ventre. Il resta ainsi plusieurs minutes, puis redescendit vers nous.
- Mon commandant, vous devriez aller voir.
Me dit-il.
- Ah ! Bravo ! Cela valait bien la peine que j’envoie un éclaireur !
Répondis-je en riant à voix basse, pour détendre l’atmosphère. Puis, à mon tour je gravis la colline, pour me poster à couvert à son sommet.
J’eus presque le souffle coupé.

Devant moi, le village était entièrement en proie aux flammes. Les habitants étaient rassemblés dans un pré, assis en tailleur et surveillés par des soldats armés. Hommes, femmes et enfants étaient séparés. Le hameau à proprement parler était en fait un puits de mine, entouré par une dizaine de maisons, une forge et une église. Le gisement me sembla être l’évidente cause de la présence de ces soldats, mais ce n’était pas la priorité. Un véritable avant poste était entrain de se bâtir près de la mine. Au fur et à mesure que ma lunette balayait la zone; je comptais cent-vingt soldats, trois canons de type couleuvrine, trois canons de 12 livres, deux charrettes attelées et une dizaine d’étranges personnages richement vêtus. Vraisemblablement, nous étions en large infériorité numérique. Je redescendit donc après de mon escadron pour faire le point avec les trois autres officiers.

 

Nous savions que nous allions recevoir sous peu le renfort du capitaine sissi et de ses six canons. Mais leur marche devait être ralentie par les attelages et on ne les attendait pas avant le lendemain au matin. La décision fut alors prise de retourner à l’orée du bois pour les y attendre, à couvert. On y retourna donc, et on fit déployer les hommes en tirailleurs. Les chevaux furent cachés dans la forêt, et on se relaya pour monter la garde. Tout ce que nous pouvions faire, c’était attendre sans se faire repérer. Encore une fois, le jour passa rapidement. Trop rapidement cette fois.

Le lendemain, comme nous l’avions prévu, le capitaine sissi nous rejoignit avec ses vingt hommes et ses six canons. Au grand bonheur des soldats, il apportait aussi des vivres en quantité ; et nous pûmes déjeuner convenablement. Pour une raison qui m’échappe, les soldats sont beaucoup moins réticents à aller se faire tuer si ils le font le ventre plein. Le déjeuné fini ; Ghideon, sissi, les deux lieutenants et moi nous isolâmes du groupe pour décider de l’ordre de bataille, Chose délicate qui consiste à disposer ses troupes selon une stratégie définie.
Nous avions les quarante cavaliers, et vingt artilleurs. Si nous voulions utiliser les six canons, il fallait pour chaque pièce trois hommes. Cela faisait dix-huit hommes sur les vingt amenés par sissi, et deux seulement restaient disponibles pour une autre tâche. Des quarante cavaliers, je fit deux groupes de vingt ; chacun ayant à sa tête deux officiers. Le premier groupe serait dirigé par ghideon, et il devrait prendre l’ennemi par son flanc Est, pour se diriger droit sur les batteries d’artillerie. En plus des vingt cavaliers, ils emporteraient les deux artilleurs restants qui se chargeraient de neutraliser les canons. Je dirigerais le deuxième groupe, aidé d’un lieutenant, Et nous devions mener une charge par le sud, face à eux, simultanément à la charge de ghideon par le flanc, de manière à les désorganiser. J’espérais ainsi qu’attaqués sur deux flancs, ils ne sauraient pas sur qui diriger leurs tirs. De plus, le capitaine sissi restait sur nos arrières avec ses canons, qu’il devait conduire au sommet de la colline pour les pilonner par le sud, couvrant ainsi nos deux charges. Les trois groupes étaient fait, et l’attaque était prévue pour une heure de l’après midi.

A une heure moins dix, nous étions tous prêts. Les canons étaient au sommet de la colline, et les cavaliers étaient en selle. Je serrai la main de Ghideon et de sissi, et nous nous mîmes en route pour nos points de départ respectifs. Un silence étrange pesait sur la troupe, la peur bâillonnait les hommes. Lorsque nous fumes arrivés au point départ de la charge, je fis stopper la colonne pour nous disposer.
Les chevaux formèrent alors une ligne, et je me tenais devant, accompagné du lieutenant. Il tenait la fusée de son sabre, et je tenais ma montre.
A une heure moins une minute, je criai
- Cavaliers ! Sabre au clair !
Puis, à une heure ;
- En avant ! Chargez !

 

à ces mots, la ligne se mit en mouvement comme un seul homme. Le roulement du galop monta progressivement, et ce fut bientôt un véritable tonnerre. Quand nous sortîmes de derrière la colline, en vue de nos ennemis, les soldats se mirent à hurler à pleins poumons leurs cris de guerre. A notre droite, arrivant par l’Est, je voyais la section de Ghideon à peu près au même niveau que nous. Je tentais d’estimer la distance qui nous restait à parcourir, quand d’un coup ; nos six canons firent feu. Les coups raisonnèrent dans la vallée, et les boulets vinrent s’écraser sur les premières bâtisses. Leurs batteries, qui s’étaient déjà tournées vers nous dès que nous avions été repérés, répondirent en nous bombardant. Les coups de canon tonnaient sans discontinuer, et les premiers boulets ne tardèrent pas à nous frôler. Les projectiles sifflaient autour de nous, et frappaient la terre en soulevant des gerbes de boue. Soudain, un soldat qui chevauchait à ma droite fut fauché de sa monture, qui galopa sans lui. Un autre eut son cheval tué sous lui, et tomba lourdement à terre. Je continuai à charger, le sabre en pointe, sans pouvoir compter les pertes. Derrière moi, seuls les cris des premiers blessés m ‘indiquaient que je perdais des hommes. Je ne pouvais cependant pas m’arrêter, car nous arrivions au niveau des premiers fantassins ennemis. Après avoir été pris pour cible par nos canons, ils étaient très ébranlés et ils n’offrirent que peu de résistance. Au premier qui arriva à ma portée, j’assénai un violent coup avec le tranchant de mon sabre, en travers de la poitrine. Un autre suivit, et j’enfonçai cette fois ma lame entre ses côtes. Je lâchai alors la fusée du sabre pour ne pas avoir le poignet cassé, et mon sabre, retenu par la dragonne, se retira de lui même. Un troisième ennemi fut renversé par mon cheval et roula au sol. Un quatrième se rua vers moi au moment ou je reprenais mon sabre en main, et j’eus juste de temps de le frapper au flanc. Mon cheval commença à ralentir en hennissant furieusement, apeuré par les coups de canons et les cris sauvages qui déchiraient l’air. Arrivé au bout de sa course, il rua devant un groupe six fantassins qui tentèrent de me désarçonner. Je me battais comme un diable, donnant de violents coups de sabre à tout-va. Les ennemis tombaient au pied de ma monture, mais ils revenaient en surnombre, et déjà certains attrapaient mes brides. Autour de moi, les cris mêlés de mes camarades et de nos ennemis montaient en puissance, comme le bruit assourdissant des canons. Je hurlais sur mes assaillants, dont les mains se tendaient déjà vers moi pour me faire tomber ; quand un violent choc me fit presque sortir de mon corps. Un de nos boulets, chauffé au rouge, était tombé sur une de leurs piles de barils de poudre ; mettant le feu à leurs munitions. L’explosion souffla tout ce qui se trouvait dans un rayon de vingt mètres ; réduisant au néant les canons ennemis, tuant les artilleurs et les fantassins, renversant les montures et projetant les cavaliers en les criblant d’éclats. Mon cheval avait littéralement été soufflé par la déflagration, et j’étais tombé sur le dos, inconscient.

Quand je revins à moi, j’étais presque sourd. Un sifflement aigu me perçait les tympans, et une vive douleur traversait tout mon corps. J’étais allongé sur le dos, les bras en croix, le sabre brisé encore dans la main. Ma vision était à demi obstruée, et il me fallut quelques secondes pour reprendre mes esprits. Je me relevai alors sur mon séant, et tentait de comprendre ce qui m’entourait. L’ouïe me revenait peu à peu, et je distinguais vaguement des cris de douleur et d’effroi, venant de toute part. L’explosion avait soulevé un épais nuage de fumée, qui retombait sur le champ de bataille comme un brouillard d’hiver à travers duquel on ne voyait que des ombres. Une forte odeur de poudre me brulait les narines, mais je reprenais petit à petit l’usage de mes sens. Je me relevai, titubai sur quelques mètres et trébuchait sur un cadavre. Les fantassins qui avaient tentés de me faire tomber étaient tous morts, et je tentais en vain de trouver un de mes hommes. Ce fut chose faite quelques mètres plus loin. Un jeune brigadier se tenait dos à moi, et donnait à boire à un autre garde grièvement blessé, adossé aux restes d’un muret. Un autre, mort, gisait au sol comme un pantin désarticulé. Sans un mot, je rangeais mon sabre fendu dans son fourreau ; pour me saisir de celui du mort. Mais à ma grande surprise, celui-ci se ranima d’un coup, comme sorti d’un mauvais rêve. Ne sachant quoi faire, je le chargeai sur mes épaules pour le ramener près du muret. Là, plusieurs blessés et soldats valides se rassemblaient déjà ; et j’y laissai mon infortuné camarade tout en gardant son sabre. Autour de nous, le nuage se dissipa peu à peu, et les cris des blessés commencèrent à se faire entendre plus clairement.
 

Mon premier reflexe fut de chercher mes hommes, qui appelaient au secours. Entre les morts, je retrouvai ainsi mon lieutenant ; qui avait une jambe cassée. Quand aux ennemis, il n’en restait pas un debout. Ils gisaient tous là, morts ou vivants à demi. Quand nous eûmes rassemblés nos blessés, je fis l’appel. Sur mes vingt hommes, cinq étaient blessés et sept étaient morts. De fait, il ne me restait que huit soldats valides, qui s’occupaient de leurs camarades invalides. Sur ce, ghideon surgit à pieds de l’intérieur du village, en ruine.

- Heureux de vous voir sur vos jambes capitaine ! Faites votre rapport !
Lançais-je à son attention.
- Content de vous revoir aussi mon commandant. Nous avons pris le village, l’ennemi est anéanti. Douze de mes hommes fouillent les lieux, les autres sont morts ou blessés.
- Faites apporter les blessés ici, et envoyez deux de vos hommes chercher la section du capitaine sissi.
Terminais-je, sur quoi Ghideon disparut à nouveau dans le village.

Le calme était presque revenu, mais cet assaut avait été fort couteux. Nous avions subit de lourdes pertes, et nous comptions douze morts en tout. Les blessés devaient être soignés, et on alla chercher les citoyens pour qu’ils nous prêtent main forte. Heureusement, le village disposait d’un médecin qui fut fort efficace, et on n’eut pas à craindre d’avantages pour nos blessés.
Restait encore à savoir qui étaient ces étranges ennemis ? Et pourquoi ils avaient attaqués cet avant-poste minier sans intérêt stratégique ? Questions que je m’empressais de poser aux habitants. Le chef du village, une sorte de vieux sage aux allures de saint patron des mineurs ; eut alors la bonté me m’éclairer.

- Ces hommes sont des mercenaires. Ils ont été envoyés ici pour voler à la terre une ressource précieuse, mais au secret très bien gardé.
- Et ce secret, quel est-il ?
- Vous le découvrirez en descendant, commandant.

Puis, il retourna auprès des autres habitants. Ne sachant pas à quoi m’attendre pour la suite des évènements, je décidais de prendre les devants. D’abord, il fallait assurer notre position en cas de contre attaque. Pour cela, j’envoyais deux cavaliers à la caserne chercher des renforts en urgence. A en juger par la distance, ils devraient être de retour avant trois jours. Ensuite, les canons de sissi furent disposés dans les ruines du village, pour repousser une éventuelle tentative d’assaut. Les blessés des deux camps furent emmenés dans une grange ou ils devaient recevoir des soins pendant encore plusieurs jours avant d’être évacuables et les quelques soldats valides restants étaient occupés à monter la garde. Et plus de cela, il fallait explorer la mine.

 

Je devais y descendre moi même, car si un secret y était renfermé il était important que le moins de personnes possible soient impliquées. Je demandais cependant au capitaine sissi de descendre avec moi par prudence, et je chargeais Ghideon d’assurer ma sécurité des lieux en mon absence. Sissi et moi nous dirigeâmes alors vers l’entrée du puits principal. Là, une sorte de monte charge manuel relié à un système de poulies permettait de descendre aux différents niveaux, et nous embarquâmes à destination du dernier sous-sol. Nous nous accordions pour dire que si quelque chose de précieux devait se trouver dans cette mine, ce serait là. La descente dura de longues minutes, et la surface n’etait plus qu’un point de lumière au dessus de nos têtes. Soudain, brisant l’obscurité, une immense galerie s’ouvrit à nous.

Les parois de cette crypte concave naturelle devaient bien mesurer plus de vingt mètres, et étaient recouvertes de minerai d’opale. Une étrange lumière inondait l’endroit, comme il l’eut été en plein jour. Le monte charge se posa dans la poussière de roche, dans un léger bruit étouffé ; et nous descendîmes. La lumière, éclatante d’une rare blancheur, émanait d’un étrange piédestal situé au centre de la crypte. D’un même pas, nous décidions alors d’avancer dans la direction de ce qui semblait être le secret de ces lieux. Au fur et à mesure que nous avancions, une forme se dessinait sur le socle de pierre. Quand nous fûmes arrivés devant, nous étions devenus muets de stupéfaction.
Une arme lévitait dans le faisceau de lumière. Sur le socle, une plaque d’or indiquait simplement «épée d’Opale ».
Quel était cet étrange objet ? Et que devions nous en faire ? Il était hors de question de le déplacer dans l’immédiat, de crainte qu’il soit piégé. Mais si c’était bien cela que les mercenaires recherchaient, l’artefact n’était plus en sécurité dans cette mine, dont vraisemblablement ils connaissaient l’existence.
Nous décidâmes donc de remonter, et nous reprîmes le monte charge, laissant derrière nous la crypte et son étrange trésor. De retour en surface, je retournais voir le chef du village. Le vieil homme était assis sur des marches de pierre, et semblait attendre notre retour. En me voyant, il se leva et nous nous mîmes à l’écart pour discuter.
- Nous avons trouvé une épée au fond de la mine. Est-ce le secret dont vous parliez ? et y a-t-il autre chose à trouver ?
Demandais-je.
- L’épée d’Opale est le seul objet de valeur dans la mine.
- Y a-t-il des pièges qui protègent l’épée et son socle ?
- Non. Je ne crois pas. Pourquoi ?
- Parce que l’épée, quoi que puisse être sa valeur ou son pouvoir, n’est plus en sécurité ici. Les mercenaires savent ou elle est, et nous ne pouvons pas défendre éternellement la mine. Nous devons l’exfiltrer au plus vite, de surcroit si il s’agit d’un objet magique.
- C’est hors de question commandant. L’épée appartient à la terre et elle y restera. Je ne laisserai personne s’en emparer.
Me répondit il. Je réfléchis un instant, puis répondis ;
- Nous ne sommes pas ici pour vous la voler. Nous resterons jusqu’à ce que nos blessés soient transportables, mais après nous devrons partir. Alors les mercenaires reviendront, et ils voleront l’épée.
Sur quoi je tournais les talons, espérant que le vieil homme serait sensible à cet argument. Le ciel commençait à s’assombrir, et la nuit acheva de s’étirer au dessus de nos têtes.

 

Au lendemain, un temps magnifique s’offrit à nous. Mon premier geste fut d’aller aux nouvelles des blessés ; qui se portèrent déjà fort mieux. Seul deux d’entre eux étaient encore fiévreux mais le médecin du village en répondait, et sous deux jours nous pourrions partir, le temps au moins que les renforts que j’avais demandé nous rejoignent. Dans le village, les quarante hommes valides montaient la garde ; car il était fort à parier que l’ennemi préparait une contre-attaque, et d’attaquants nous passerions alors à attaqués, position peu enviable. J’espérai que l’ennemi mettrait du temps à s’organiser, et la possibilité d’être assaillis avant l’arrivée des renforts me préoccupait. Après être passé voir les blessés, je me dirigeais donc vers la petite maison ou on avait installé le commandement. Là, ghideon et sissi étaient déjà penchés sur le plan des environs que nous avions dessiné la veille sur les indications des éclaireurs. Ensemble, nous décidâmes des mesures à prendre pour défendre les lieux, des rondes et des tours de garde.

A l’heure du repas, j’allais au puit pour tirer de l’eau lorsque le chef du village me fit signe de le rejoindre dans ce qui restait de sa maison. Le vieil homme avait sans doute réfléchis à notre discussion, et il s’était ravisé.
- Si je vous confie l’épée, qu’en ferez vous ?
Me demanda-t-il.
- Ma foi, si c’est un artefact magique, nous la confierons aux mages impériaux ; à Stendel ou à New-Stendel. Là, elle sera en sécurité et entre de bonnes mains.
Répondis-je.
Sur quoi, il parut hésiter encore, et me serra la main. Il fut cependant convenu que l’épée ne serait sortie de la mine qu’aux dernières minutes avant notre départ, et que nous partirions également avec un grimoire, sorte de manuel d’utilisation de l’épée, qui sera fort utile aux mages. Le vieil homme passa le reste de la journée dans la mine, à surveiller son précieux artefact ; et aucun autre évènement ne fut à noter.

Le lendemain, une surprise de taille nous attendait.
Nos renforts, nous croyant toujours aux prises avec un ennemi en surnombre, étaient venus à notre rencontre en toute hâte et sans faire de halte. C’était un contingent de Cent hommes, montés sur soixante-quinze chevaux et six charrettes. Ils avaient apportés trois canons, des vivres et du matériel médical qui nous fut fort utile ; ainsi que des chevaux scellés pour les cavaliers dont la monture avaient péri dans les combats. En parlant de monture, je retrouvais mon fidèle Kondratiev, qui était resté au fort à cause d’un rendez-vous avec le maréchal-ferrant. Avec les soldats valides, nous devenions alors quatre-vingt-quinze cavaliers, et les charrettes devaient servir au transport des blessés, des morts, et de l’artefact. Comme les renforts nous avaient rejoins à dix heures du matin, on prépara le départ pour quatorze heures. Le temps de se repaitre, et de procéder aux préparatifs. Malheureusement, la bonne fortune ne dure jamais.

 

A treize heures, un éclaireur, monté sur ce qui restait du clocher du village, signala une troupe non identifiée au nord de notre position. Quand ils furent à portée de longue-vue, il compta près de deux-cent fantassins et dix canons tirés par des chevaux. Il nous était possible de fuir, et d’emporter avec nous les blessés et l’épée d’Opale ; mais ce n’eut que retarder une bataille qui semblait inévitable, et nous avions de plus le devoir de retenir l’assaillant le temps que les civils partent se mettre à l’abri. Oui, il fallait retenir l’ennemi ; mais hors de question de se laisser assiéger. Ils étaient en supériorité numérique et notre seul avantage sur eux était nos chevaux. La seule tactique qui avait une chance d’aboutir était celle du Choc, soit attaquer avant d’être attaqué. Le capitaine ghideon le comprit en croisant mon regard, et il fit monter en selle tous les cavaliers valides. J’ordonnais au capitaine sissi de conduire les neuf canons qu’il avait à disposition au nord-est du village, et de les aligner sur une petite dune de terre ou ils surplomberaient la vallée. Quand aux blessés, on les chargea dans les charrettes et ils furent conduits à l’orée du bois, avec les civils. Pendant que tout le monde prenait ses dispositions, je sautais en selle et me dirigeais vers le nord du village, ou Ghideon rassemblait les hommes. On disposa les quatre-vingt-quinze gardes en deux lignes : la première de quarante-cing hommes, disposés en « flèche » et la seconde de cinquante hommes disposés en rangée simple. L’idée était que la première ligne de cavaliers devait créer une percée dans les rangs de l’infanterie, et que la seconde ligne devait achever d’anéantir les ennemis encore debout.

Au loin, on distinguait déjà les soldats ennemis qui avançaient dans la plaine, à cinq-cents mètres de nous. Le clairon sonna, indiquant que l’artillerie était en place. En effet, à notre flanc droit, les neuf canons semblaient menacer la prairie de leurs gueules noires béantes. Je fis signe au clairon de sonner le départ, et nos montures partirent au pas. Tout avait été très vite, et nous n’avions pas eu le temps d’avoir peur. Mais une fois à cheval, en marche lente vers l’ennemi, la crainte de tomber de ce combat inégal commença à nous saisir. La distance qui nous séparait des ennemis se réduisait considérablement. Cinq-cents mètres, quatre-cents mètres, trois cents-mètres... les premiers coups de canon déchirèrent le silence, et les premiers boulets commencèrent à pleuvoir sur la plaine. Puis, les artilleurs des deux camps ajustèrent leurs tirs et les premiers combattants commencèrent à tomber. L’avantage de la cavalerie est que les boulets n’emportent généralement qu’un soldat à la fois, étant suffisamment espacés. Mais les fantassins ennemis étaient disposés en ordre serré, et un boulet bien placé en emporta dix d’un coup. Arrivés à deux-cents cinquante mètres d’eux, je vis sonner la charge.

 

Le clairon souffla dans son instrument à s’en faire sauter les poumons, et tous les chevaux partirent au galop. Les gardes sortirent leur sabre du fourreau, et le tendirent devant eux, en pointe. Nos chevaux s’emballèrent au triple galop, excités par les coups d’éperons, et nous nous mîmes à hurler notre cri de guerre
« Pour l’empire, par la force ! ».
Les fantassins ennemis se mirent à courir dans notre direction en hurlant, gardant leurs rangs serrés malgré la pluie de boulets.
Nos deux troupes étaient comme deux météores prêtes à entrer en collision, et le choc ne se fit pas attendre. Chevauchant en tête des gardes, je fus le premier à croiser le fer. Nos montures, lancées au galop, percutèrent les rangs ennemis et renversèrent les fantassins comme de vulgaires ballots de paille. Ceux qui restaient debout étaient fauchés par les sabres et piétinés par les chevaux. La première ligne ennemie fut anéantie, broyée par notre charge. La seconde ligne connut le même sort, mais nous commencions à ralentir. Arrivés à la troisième des cinq lignes, nos chevaux s’arrêtèrent ; encombrés par les fantassins en surnombre. Les tirs d’artillerie des deux camps se croisaient sur la mêlée, et les boulets rouges tombaient sur nous sans discontinuer. Immobiles et accablés par le nombre, mes hommes tombaient les uns après les autres, emportant avec eux le plus d’ennemis possible. Ma lame sifflait dans les airs, plongeant sur les ennemis ; en saignant un à ma gauche, en estropiant un autre à ma droite, et s’enfonçant dans les côtes de ceux qui voulaient me désarçonner. Parfois, un sifflement aigu déchirait l’air, et un boulet s’abattait sur nous, tuant au hasard un des combattants. Malgré notre claire infériorité numérique, nous tenions bon. Montés sur nos chevaux, nous avions l’avantage de la hauteur sur un ennemi qui évolue à pieds. Mais cet avantage ne durerait pas, car déjà certains de mes hommes furent désarçonnés. Malgré la vigueur avec laquelle je me débattais, je fus à mon tour jeté à terre. Kondratiev, mon fidèle destrier, rua et envoya un violent coup de sabot en arrière, assommant un ennemi. Profitant du désordre ambiant, j’évitais un coup d’épée et roulais au sol, pour me relever le sabre en main. A peine debout, je me postais en tierce face à un soldat ennemi. Il tenta de me porter un coup d’estoc mais je parais en quartant et contre-attaquais en le touchant au coeur. Il tomba, foudroyé, laissant sa place à deux de ses comparses. Mes deux nouveaux adversaires fondirent sur moi d’un même pas, mais trop précipitamment. Je tuais roide le premier avant qu’il eut pu me porter un seul coup, et donnais un violent coup en estafilade au second. Un boulet tomba près de moi, tuant un de mes hommes, et me sonnant un peu. Profitant de mon étourdissement, un fantassin ennemi tenta de m’empaler, mais j’esquivais au dernier moment. Le coup me toucha tout de même au flanc et une vive douleur me fit chanceler ; mais mon assaillant n’eut pas le temps de porter un second coup et fut frappé par un boulet. Le sabre dans la main droite, la main gauche sur ma plaie, je titubais alors droit devant moi, en frappant tout ce qui croisait mon chemin. La quasi-totalité de mes hommes combattaient à pieds maintenant, et nous nous dirigions vers leurs canons. Malgré la résistance des combattants adverses, ils ne purent entraver notre avancée. Ils tombaient les uns après les autres, emportant avec eux quelques uns de mes hommes. Au bout d’un moment, les canons se turent, et les cris cessèrent. A force d’usure, mes hommes et moi nous retrouvâmes seuls, debout au milieu du champ de bataille. Sur la colline d’en face, les canons ennemis prenaient la fuite, avec les artilleurs en déroute.

 

Je prenais sur moi pour ne pas m’effondrer. Après avoir constaté notre victoire ; je me retournais pour compter mes hommes. Sur les quatre-vingt-quinze cavaliers qui avaient menés la charge avec moi, trente tenaient encore debout.
Ensemble, nous retournâmes sur le champ de bataille, ou les blessés appelaient à l’aide. Au centre de cette grande plaine, la terre avait été labourée par les boulets et le sol était criblé de cratères. Les blessés des deux camps gisaient là, agars, au milieu des corps de leurs camarades. Les civils nous rejoignirent avec les charrettes, et nous aidèrent à y transporter les blessés. Ceci fait, il fut décidé que la population du village serait plus en sécurité avec nous, et le chef convainquit ses concitoyens de nous suivre. D’une certaine manière, je le suspectais de vouloir rester près de l’artefact ; mais après tout peu m’importais. Le médecin du village me fit un bandage, puis nous partîmes en convoi pour le Fort Herobrine. J’avais même retrouvé mon destrier, et le retour se passa sans encombres.

Arrivés à la caserne, nous fûmes accueillis par les gardes restés en garnison. Les blessés furent transportés à l’infirmerie, et les civils furent invités à loger chez l’habitant aux environs. L’artefact fut mis en sécurité dans l’arsenal, le temps pour nous de prendre quelques mesures. Les jours qui suivirent notre retour furent en effet consacrés au deuil de nos camarades tombés en mission et à leur enterrement au cimetière militaire. C’est une semaine entière qui passa ainsi, sans activité autres que le service minimum et les cérémonies.

Cette période passée, le temps était venu de s’occuper de l’artefact. Le grimoire qui l’accompagnait fut étudié et le vieux chef du village nous fit un exposé sur cette épée d’Opale. Nous apprîmes alors qu’il s’agissait de l’arme d’un légendaire chevalier, qui vécut jadis dans le sud de l’empire. Ce chevalier, qui était le héros des mythes locaux, aurait vécu près de mille ans avant notre ère. Il aurait voyagé à travers les terres désertes du sud, à la recherche des engeances démoniaques qu’un certain mage avait fait naitre sur notre monde. Il aurait alors combattu chacun de ces monstres, avant de découvrir, au crépuscule de sa vie, le portail qui avait été ouvert sur l’Enfer par le mage noir. Au terme d’un combat acharné, il aurait réussi à fermer le portail, en payant cet exploit de sa vie. Terrassé tant par l’âge que par l’épuisement, ses derniers voeux furent que l’on enfouisse son épée dans les entrailles de ces terres du sud qu’il chérissait tant, en lieu et place ou il avait perdu la vie. Elle devait alors attendre là qu’un nouveau chevalier soit digne de la porter, et depuis ce jour elle attendait, immobile, au fond du puits de mine. Le vieil homme termina son exposé en nous remerciant au nom de son village, d’avoir protégé les habitants. Puis nous sortîmes de la salle de réunion. Alors que je m’apprêtais à quitter les lieux, il me retint en me posant la main sur l’épaule. Je n’étais pas très réceptif à ce genre de familiarités qui se voulaient paternalistes, mais je me tournais tout de même vers lui. Nous étions alors seuls dans la salle.
- J’ai réflechi, me dit-il. Dans ce monde, rien n’arrive au hasard, et tout à un sens. Aucun évènement qui ne se produit ne peut être le fruit d’autre chose que la destinée, et la votre a croisé celle de mon ancêtre.
Je le regardais, d’un air assez interrogateur pour qu’il poursuive.
- Oui, je suis l’arrière-arrière-arrière –et j’en passe- petit fils du chevalier d’Opale. Comme mon père avant moi et son père avant lui, j’ai veillé à ce que la prophétie se réalise et à ce que l’épée soit en sécurité. L’attaque des mercenaires, votre arrivée au village, la bataille que vous avez mené pour nous défendre ; rien de cela n’est arrivé par hasard. Vous êtes né, avec pour destinée de devenir le nouveau maitre de cette épée. Votre existence vous a mené à elle, l’épée vous a choisi. En nous sauvant, vous vous êtes montré digne à ses yeux.
Je le regardais toujours, interloqué cette fois. Il me serra la main, et partit.
 

Après cette étrange conversation, j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil. Qu’avait-il voulu dire ? Quels étaient les pouvoirs de cette épée d’opale ? Pourquoi avais-je été choisi ? La nuit passa sans m’apporter de réponse. Et le matin allait soulever encore plus de questions. En effet, à huit heures, on vint m’avertir que les villageois étaient repartis, tous. Seul une note avait été déposée à mon intention par le vieux chef ; et elle disait simplement :

« Méritez cette épée, faites en bon usage. »

Les villageois partis, je passais l’après midi dans l’arsenal, devant ladite épée. Je la fixais, comme pour en saisir chaque forme, chaque reflet, chaque indice qui eut pu m’indiquer son ou ses pouvoirs. Après de longues heures à la contempler, je décidai alors de m’en saisir. A mon grand désarroi, cela n’eut aucun effet. Après le discours du vieil homme, je fus un peu déçu, m’attendant à la voir d’illuminer dans les mains de l’élu ; et jeter des rayons de feu. Il n’en fut rien, aussi je la reposais sur son socle, en partis dépité. Le soir venu, je fis part de mes observations à Ghideon et Sissi ; qui écoutèrent attentivement. Comme moi, ils ne s’expliquaient pas que cette soi-disant épée magique n’ait point fonctionnée, et nous en vinrent à croire que ses pouvoirs s’étaient dissipés durant sa longue attente ; quand Ghideon fit une Observation fort à propos ;
- le vieil homme a dit que l’épée attendait un chevalier, qui serait digne d’elle. Hors, pencroff, tu n’es que Cavalier. Peut-être t’es tu suffisamment rendu digne d’elle pour la sortir de sa crypte ; mais n’étant pas chevalier, elle te refuserait l’accès à ses pouvoirs ?
Sur quoi, il entama sa tarte à la citrouille.
Ghideon avait mis le doigt sur quelque chose d’important : L’épée attendait un Chevalier, hors je n’étais pas encore chevalier. Je décidais donc de me renseigner au plus vite sur ce titre, qui semblait prendre pour moi une nouvelle valeur.

J’avais un ami à l’académie de la chevalerie de Stendel, et je décidais de lui faire parvenir une missive pour qu’il me renseigne. Il me répondit fort promptement, en expliquant que le rang de chevalier était un rang d’un grand prestige, accordé aux citoyens les plus méritants.

Méritais-je ce rang ? C’est une question qu’il fallait se poser avec humilité. Je n’étais qu’un modeste citoyen, même en étant officier. Cela dit, j’avais fidèlement servi l’Empire depuis mon arrivée sur ces terres, et j’avais même eu l’occasion de me battre pour lui. J’étais fier de mon parcours à Stendel aussi modeste fut-il, et je ne pouvais rien perde en tentant ma chance.
A la lumière d’une bougie, j’entamais donc la rédaction de ma candidature.

FIN.

 

 

 

 

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Pour finir cette candidature, je souhaiterais remercier comme il ce doit tous ceux qui m’ont soutenu dans cette fantastique histoire, et qui continuent de l’écrire chaque jour. Je nomme donc ;

 

Les capitaines Sissigiroux et isaac_asimov, mes chers cousins, qui m’ont aidé à fonder le Fort herobrine et à le diriger durant ces quelques années.

 

Le capitaine GhideonZorn, pour son incomparable dévotion au projet, dans lequel il a su montrer bien plus que son utilité : son indispensabilité. C’est le genre de personne a qui on peut confier n’importe quelle tâche en ayant l’assurance qu’elle sera accomplie avec brio.

 

Le capitaine Wariow, pour sa participation au projet et sa générosité sans borne ;

Et pour toutes les nuits ou nous étions les deux derniers joueurs connectés, à travailler soit chez l’un soit chez l’autre.

 

Le Lieutenant Wendy, Pour son implication sans égal dans le projet et pour sa bonne humeur perpétuelle !

 

Le lieutenant BA06, pour être toujours partant pour n’importe quelle mission ;

Et pour sa participation au projet.

 

Le lieutenant Kaonix, Pour avoir participé à la 2e génération du Fort Herobrine.

 

Le lieutenant Thalkion, parcequ'il est civilisé pour un Celte, mais surtout parceque c'est un car c'est un hardi camarade o/

 

Le sergent Loupon, pour sa participation non négligeable au projet, et pour la confiance qu’il m’a accordé.

 

Le sergent StrangerP, pour sa participation non moins négligeable au projet, et pour avoir fait partie de ceux qui ont apporté du renouveau dans le projet.

 

Le sergent Nespote, pour sa participation au projet et son rôle dans le recrutement et l'encadrement des

jeunes recrues.

 

Le soldat Cauko, pour sa participation non négligeable aux récents chantiers.

 

Le chevalier Stalroc, qui a longtemps été notre seul voisin, et qui a souvent été

De bons conseils.

 

le docteur Poupek, pour sa participation au projet en tant que médecin;

même si il en est devenu la première cause de mortalité.

 

Le détective et glacier SilenceCaeles, pour sa participation au projet et ses renseignements

aussi précieux que ses glaces au Whisky !

 

Et à tous ceux qui ont participé de près ou de loin au projet, ou qui ont simplement été de bons camarades, je nomme ;

Ce très cher Chopine, qui devrais avoir son Piédestal au spawn,

Ce vilain chat de Pimoussy, qui fait ses griffes partout,

Maitre SaguyaOotsuki, 

Le capitaine liths,

Les soldats Matt, Konrad, Ograity, Anodem et j'en passe

qui sont l'âme du régiment ^^

Je remercie également tous les membres de Fort Herobrine devenus inactifs depuis,

et qui ont grandement aidé à faire du projet ce qu'il est aujourd'hui.

 

Notes à l'intention des lecteurs:

Je me tiens à votre entière disposition pour toute question ou suggestion.

Veuillez cependant me les adresser par MP, je m'engage à y répondre au plus vite !

Merci d'avoir pris le temps de lire ma modeste candidature ^^

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RP ON :

 

Chers et grands empereurs,

Je sors aujourd'hui ma plus belle plume et lettrine afin d'apporter mon plus grand soutien à la démarche du citoyen et commerçant Pencroff, plus connu sous le titre de commandant, pour devenir chevalier.

Cet homme, à peine j'ai commencé mon aventure sur vos terres, m'a accueilli, bras ouverts, dans cette Garde qui lui est chère. Il est pour moi, bien plus qu'un citoyen, bien plus qu'un commandant, mais bel est bien un meneur, un guide, une personne en qui j'ai une incomparable confiance et je n'hésiterai pas une seconde à mettre ma vie entre ses mains, car je sais qu'il ne laisserait pas tomber une seule personne de sa Garde, capitaine, comme soldat. Pour être exact, ce n'est pas que ma personne qu'il a guidé et mené avec bienveillance, mais tout un régiment d'hommes, pour qui il joue non pas un simple rôle de commandant, mais aussi le rôle d'un père.

 

Mais revenons à la personne même, à peine arrivé sur ces terres, il s'engageait un tant que soldat, prêt à donner sa vie pour défendre l'empire des assauts du Nivem ! Il a ensuite tout de même fondé une Garde, dont le seul but n'est qu'autre d'assurer la protection et veiller à la paix au sein de l'empire Stendelien ! Et cette garde, toujours debout aujourd'hui, continue son rôle, et bien qu'à des moments elle pût faiblir, jamais, jamais elle ne s'écroula ! Mais je ferai remarquer que c'est des années de sa vie, qu'il a donné, et donne encore à l'Empire, à vous empereurs, toujours là pour mettre sa vie en danger, lorsqu'il peut aider les plus démunis ! Durant toutes les batailles aux quelles j'ai pu participé avec lui, victoires comme défaites, il a donné tout ce qu'il pouvait pour que tous ses hommes reviennent vivants. Mais oui, nombre d'entre nous sont tombés pour l'empire, mais aucun, aucun n'a regretté de donner sa vie pour la paix, et pour cet homme, qui leur a, nous a appris à s'ouvrir bien plus qu'à notre simple personne, mais aux vies qui nous entourent et qui nécessitent de l'aide. Car oui, ce régiment que dirige le commandant Pencroff, en faire parti, c'est être prêt à se sacrifier pour les autres, à se sacrifier pour la paix et Pencroff est la première personne à nous le prouver chaque jour !

 

Terre-Morne, connaissez-vous ce grand pénitencier, accueillant aujourd'hui nombre de mages noirs, tous des traitres à l'empire ? Et bien, c'est cet homme qui a fondé cette prison ! Encore un geste de sa part pour l'empire, et pour la paix ! Ooh qu'il en a passé du temps, à imaginer, à l'aide d'architectes, les plans de cette prison, faite pour résister aux plus grands mages noirs de l'empire ! Je me rappelle encore, comment nous avons, comment il a, sans jamais faiblir, posés pierre par pierre, l'édifice de ce grand pénitencier !

 

Alors oui, pour moi, cette personne, ce compagnon, mérite ce privilège, car il a prouvé à de nombreuses reprises qu'il en était digne, car ce rôle de protecteur pour l'empire, il l'assure depuis longtemps en tant que commandant, alors, qu'il puisse l'assurer en tant que chevalier, cela serait merveilleux !

En vous souhaitant une agréable journée,

Capitaine Ghideon Zorn.

RP OFF

 

Bien, que dire de plus, Pencroff est réellement un joueur actif, motivé, toujours là pour aider les autres ou faire avancer son projet, auquel il a su voir ce qu'il n'allait pas, et donner un coup de jeune, bien mérité ! Sa motivation, elle ne s'arrête jamais, il est toujours là pour faire avancer sa Garde, proposer des expéditions, ou autres petites choses rps au sein du fort !

Toujours présent pour faire du rp, rigoler, construire, discuter, je ne me lasserai jamais de lui ! A peine arrivé sur minefield, il fût, et reste pour moi, un exemple. Sa prison, son fort, sa garde, son commerce, ses batailles, il en a fait des choses sur ce serveur ! Un véritable parcours, qui ne cesse de se prolonger ! J'en ai eu des moments de rigolade, lors de courses poursuites d'innocents de traitres dans des projets, d'expéditions catastrophiques par notre désorganisation (perdre cinq hommes à cause d'un trou dans le sol, faut le faire xD), et bien d'autres choses, tout cela, tous ces bons moments que j'ai passé, c'est grâce à ce projet, et à lui (mais aussi à tous ceux qui font partis du fort Herobrine).  A aucune moment, je ne me lasserai de jouer avec lui, ou de discuter, ig comme sur mumble !

 

C'est donc bel et bien à ce grand ami que je viens apporter mon soutien :D

En te souhaitant de parvenir à ce grade, que tu mérites largement pour moi !

Ghid'

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Et Bien ... Et Bien ... et Bien ... Et Bien ...

Le Commandant Pencroff qui va postuler au rang de Chevalier ...

Et Bien ... Et Bien ... et Bien ... Et Bien ...

Il veut integrer la Noblesse d'épée ...

Heureusement que tu es passionné de la période post-révolutions ^^

Sinon en faisant cette candidature tu aurais betement confirmé le principe qu'il faut être de sang bleu pour être gradé dans l'armée !

 

Bon, mise à part ce petit détail historique ... Que dire de ce cher Pencroff ?

Et bien je vous préviens je suis une quiche en plussun ... Mais on va faire avec.

 

Le commandant Pencroff est là 24h/24 et 7j/7, toujours près à vous envoyer la garde sur le dos, sois pour venir vous peter les genoux, soit pour vous filer un coup de main.

Il commande d'une main de fer plus ou moins efficace le Fort, la preuve malgré l'incompétence et la bétise de certain des trouffions de son régiments, le fort à toujours pas disparu sois par explosion d'un canon mal reglé, sois par un incendie, malgré l'invasion constante de monstres dans la zone.

Un homme, un chef, un meneur d'hommes, un père pour ses hommes, un tisserand, un ami, un bon copain quand il s'agit de partir dans des délire pas possibles.

Sa porte vous seras toujours ouverte.

 

Pour finir, il a une superbe moustache.

 

Il a mon approbations et mon soutien.

L'approbations et le soutien d'un glacier demi-elfe.

 

Maitre CielNoir,

Glacier de son état,

Grand Argentier et Maitre des traités de la Fier Citée de Middenheim,

Ami du fort et de son Commandant.

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Tagazok!

Je viens en cette nuit, soutenir l'ami Pencroff, dans sa demande au grade de Chevalier.

 

Pencroff, il est fort sympathique, et il a une belle moustache.

Chef d'un vieux projet encore debout, d'une toute nouvelle prison qui accueilleras les plus ignobles alcoolos malfrats, le Commandant Pencroff mérite ce grade de Chevalier.

Je lui offre une belle chope, remplie d'une bonne bière, pour que tu oublie ces contraventions que tu me file a chaque fois que j'suis sur le banc, et mon +1 de Nain!

 

hearthstone-nain-biere_0190000000650612.

 

Signé, un alcoolique pas très anonyme.

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Bonjour, Bonsoir 

Je vien plussoyer Pencroff qui est un très bon commandant pour moi.

Il est non seulement mon cousin, mais un ami, un véritable guide au sein du fort, en qui j'ai une grande confiance.

Je te souhaite d'obtenir ce grade que tu mérite amplement pour moi ! =)

Bisous

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Bonsoiiir !

 

Je viens ici soutenir Pencroff dans sa candidature, parce qu'il a une belle moustache et qu'il me donne des PA's pour écrire ceci. Zayhr.

 

Hum, plus sérieusement, Pencroff est quelqu'un à qui on peut faire confiance, qui est toujours là pour nous et qui nous console quand ça va mal...c'est en quelque sorte notre maman :'3

Sa candidature est bien organisée, bien écrite, c'est parfait.

 

Bref, je donne à cette candidature le plus gros +1 de ma carrière :

 

+

       +

         1

https://www.youtube.com/watch?v=-uRi_xo92VE

 

 

-Zayhr-

Over.

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Maréchal-des-logis nespote au rapport :

Sujet du rapport : le commandant pencroff.

Date du rapport : 13/12/16

Après 6 mois passés à ses côtés infiltré dans son projet, à rechercher les failles de ce grand homme, j en viens à cette conclusion: pencroff n a pas de faille. Il est sympa (sauf pour les réveils un peu violents...), attentionné, impliqué dans ce qu il fait, toujours à l écoute des imbéciles comme moi... Bref il est (presque) parfait. Je n ai rien trouvé que je puisse utiliser contre lui pour l empêcher d acquerir le grade de chevalier

 

Note rapport : +1

 

Bonne chance !

Nes

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Bonjour,

 

Le grand druide que je suis viens aujourd'hui jusqu'au chateau de Stendel pour soutenir le commandant Pencroff dans sa candidature chevalière. Ce grand homme est le voisin idéal que tout projet pourrait souhaiter, il est ouvert, sympathique et coopératif ! C'est un excellent meneur d'homme comme on n'en voit rarement puisque que son projet réussi encore et toujours à attirer plus de recrues afin de monter des expéditions plus intrépides ou des courses poursuites des plus haletantes ! Ses batailles rangées contre les monstres et l'emprisonnement des criminels, après des investigations rondement menées par son équipe sont toujours source d'inspiration pour les jeunes gens qui voudraient rentrer dans la garde Stendelienne et l'on ne pourrait rêver de meilleur exemple ! Son investissement dans la région Sud de Stendel n'est pas à négliger par la défence qu'il procure à la zone, récemment renforcée par la construction rapidement menée de la prison de Terne Morne afin de nous apporter toujours plus de sécurité.

 

Je pense donc qu'il mérite amplement le grade qu'il demande.

Il a tout le soutient des mages de Nydria, qui sont défendus par sa garnison contre l'attaque des monstres et de quelques autres vils gredins.

Dark-Hoshin

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Bonsoir,

 

C'est avec beaucoup de plaisir que je viens te soutenir dans cette demande de grade chevalier. Et même si je n'ai pas d'idée quant à quoi mettre pour te plussoyer, je vais néanmoins en dire un peu sur ce que je sais de toi =)

Agréable et sympathique, beaucoup de sérieux mais aussi beaucoup de déconnade font de toi le commandant de la garde du fort Herobrine idéal. Pas trop exigeant envers les soldats en les laissant boire dans ma taverne durant les heures de garde. Des activités à la pelle pour ceux qui te côtoient, des moments de rire, mais aussi des moments pour parler de ce qui va pas. Et qui, grâce à toi, passent bien par la suite. C'est un réel plaisir de jouer avec toi, sincèrement. Et ce, même si tu arrive juste à faire des recrues "nulles" des recrues "TRES nulles" (heureusement, je suis là =D).

Je t'ai rencontré au sein même du fort Herobrine. Je me souviens être passer et avoir vu un horrible bateau amarré au port. C'est dès lors que je t'ai proposé in game de t'en construire un tout neuf : le HMS Kayne. Premier navire de la flotte de Middenheim construit hors de mes terres. C'est de là qu'est venue l'idée de proposer les navires de ma flotte pour les autres projets de Minefield. C'est un peu grâce à toi quoi ! 

Voila. Tu fais sans aucun doute partis de mes "vrais amis de jeu". Et ça n'est pas rien. 

 

Bon courage, et n'oublies jamais ceci : "Why Not".

 

Capitaine Wariow, F.H

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Oyez oyez gentes dames et nobles damoiseaux,

 

Le Vizir de Khérinops, l'Ambassadeur des Traqueurs de l'Ombre, et le tout frais adjudant de la Garde Volontaire va prononcer quelques mots.

 

...

 

Hmm, huuummmm.

1-2, 1-2, test test ! Rhaaa enfin, non d'ju, ça fonctionne. 

Hmm, huuummmm.

 

"Les grands hommes ont plus soumis de peuples par la douceur que par la force."

 

Voici une jolie maxime qui résume fort bien notre tendre et cher Commandant Pencroff de la Garde Volontaire. Vous savez, il n'y a pas que le peuple qui à goûter à la douceur de cette homme. Il y a aussi ses hommes.

​Quand il m'a accueilli parmi les hommes de la Garde, je ne connaissais pas bien ce monsieur et lui non plus d'ailleurs ne me connaissait pas. J'ai pu voir qu'il me remerciait pour la confiance que je lui ai donné. Ce n'est pas moi qui devrait le remercier ? Car, non il ne me connaissait pas bien mais pourtant il a toujours été tolérants avec les jeunes recrues: avec moi, il a toujours été tolérants face aux absences: mes absences, il a réussi à faire confiance directement: me faire confiance. C'est pour ça qu'il mène son projet à bien. C'est pas qu'il a donné sa confiance aux hommes et que les hommes sont fiers d'être à ses côtés. 

Il a sur bâtir une magnifique Caserne, une modeste communauté, et un réelle esprit RP au sein des contrées Minefieldiennes. Beaucoup critique le Fort pour son côté pas très médiéval, et pourtant, le fort est l'un des seuls projets à jouer de manière RP. Et cela, c'est grâce à Pencroff.

 

Pencroff mérite d'être chevalier aujourd'hui. Il est un joueur actif, proche de la communauté, fidèle serviteur de l'Impérialisme Stendelien et un homme extraordinaire remplie de générosité. Rien qu'à voir sa description IRL (ref. bénévolat). Cette générosité, cette gentillesse se remarquent en jeu. Lui donné ce rang chevaleresque c'est  le mettre à l'honneur, car il le mérite. Il a su faire son projet, il a su le maintenir, il a su le développer.  Il a su se battre pour l'Empire, il a su se faire aimé par sa et la communauté, il a su intégrer les valeurs d'un bon chevalier.

 

PENCROFF CHEVALIER !! *TOUS AVEC MOI* PENCROFF CHEVALIER !!

 

...

 

Merci de m'avoir lu, merci à Pencroff, gros bisous et à bientôt !

 

Loupon, ton fier camarade !

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[Rp : La rose bleu.]

 

Encore un matin comme les autres bercé par l'odeur de la terre humide et du feuillage. Ouvrant mes paupières au monde, je m'étirais longuement avant de pousser un long et profond soupir. Hier était passer si vite que je n'eus le temps de comprendre ce qu'il s'était bien passé. Des heures durant, j'avais parlé avec ma reine pour savoir ce que l'on allait faire pour la suite des constructions au sein même de la fourmilière. Et pour une fois, il était rare, j'avais eu le droit à une journée rien que pour moi.

 

 Être enfermée n'était sans doute pas très bon pour mon teint déjà bien trop pâle aux allures de la plus claire des opales. Mon lit n'était pas ce qu'il y avait de mieux, mais Arthur avait mis tant de bonne volonté a ce que je me sente chez moi ici que je ne pouvais lui faire la remarque. Ma maison, c'était ici que je me sentais le mieux, assis dans ce lit, dans cette chambre, j'étais chez moi. Mon cœur n'était que plus léger ici et je portais grâce a la gentillesse de mon nouvel ami. Dans un geste presque calculé, je dirigeais ma main habilement vers ma table de chevet. La veille, j'avais reçu une missive d'un de mes amis du fort Herobrine, qui m'avait fait part avec une joie certaine son envie de faire part de la grande chevalerie.

 

J'avais du mal avec ce genre de concept, et j'avouais en rire que trop souvent. J'avais cru comprendre que celui-ci avait récupéré un artefact d'une grande valeur et qu'il avait donc besoin de mon soutien en tant que jeune femme de la cours pour appuyer de ma voix bien peu pesante sa candidature. Je ris en pensant a cela, et serra la lettre contre ma poitrine. J'avais plaisir a penser que dans ce monde, j'avais enfin réussi à trouver des personnes sur qui compter, des gens que je pouvais allègement nommer « amis ». C'était une notion que trop peu claire dans mon esprit, mais j'aimais à me dire qu'il était enfin arrivé ce rêve qui m'était autant cher. Mon cœur jouait dans ma poitrine tel un violon lors du plus beau des solos. Je m'imaginais la scène, la plume à la main près de mon ami, l'aidait avec plaisir à écrire un long soutien pour lui. Il était de ceux qu'on aime au premier regard, de ceux avec qui l'on se sent bien au premier soupir... Ce n'était bien entendu pas de sentiments amoureux que je parlais, il était fort difficile pour moi de ressentir ses émotions. Ma confiance dans le genre humain était partie que trop vite avec les déceptions et la douleur. La peur d'être abandonné avait été mon moteur et celui de ma terreur. Stendel et new stendel étaient devenu mon quotidien et la peur de Ryalkan était plus qu'un lointain souvenir, entacher de sang et de larmes.

 

Mon esprit vagabondait entre çà et là, des images me venaient comme un vieux rêve, des sentiments nouveaux... Levant la lettre vers mes yeux, je me levais d'un bon et me secouais de ton mon être. J'étais encore en chemise de nuit quand je posais enfin les yeux sur le poster d'une taille plus que respectable qui ornait ma chambré. Offert sans aucun doute, mais très précieux à mes yeux. D'un geste presque automatique, je pris avec prestance mes habits du dimanche, une jolie robe d'un bleu très pâle proche de celle de l'hydrangea macrophyllaune hortensia aux couleurs presque magique. Cette robe était ornée de dentelles aussi blanches que le marbre lui-même et décorée çà et là de perle d'une couleur tout aussi éclatante. J'étais belle pour sortir, jolie pour pouvoir aider un ami qui m'était cher, même si je ne lui montrais que rarement. Laissant lâche mes cheveux, rapidement coiffés et décoré d'un ruban d'un bleu tout aussi pâle que ma robe, j'époussetais celle-ci dans un geste presque machinal.

 

Le sourire aux lèvres, chose bien rare. Arthur était sans doute venu dans mon sommeil vérifier si je me portais bien, l'idée de cette gentillesse m'avait toucher. Je pus faire cette déduction au bouquet de violettes fraîchement coupés qui trônais sur ma table. Je rosis à cette idée et me mise a glousser d'amusement. Il était bien gentil.

 

Le fort Herobrine était fort loin et je n'avais aucunement envie de passer par les chemins conventionnels et, pour créer la surprise, j'avais certainement envie de me déplacer comme à ma convenance. Je pris tout de même soin de me parfumer, toute lady se devait d'avoir une toilette impeccable. C'est donc le cœur léger, la tenue belle et accompagnée d'une odeur de rose fraîche que je décida non sans hâte d'ouvrir un grand portail qui mènerais vers le bureau de mon ami Pencroff Bonadventure. J'imaginais déjà la surprise sur son visage et l'air satisfait qu'il aura quand je lui apporterais la bonne nouvelle de mon soutien pour aujourd'hui et pour toujours.

 

[Hrp : Le Pimouplussin]

 

Mon petit Penpen,

 

Comme j'aime tellement t'appeler. Voir enfin cette candidature me rend presque rêveur. Te voir évoluer me fait plaisir, j'ai longtemps appris à te connaître et tu as fait partie de ceux qui ont toujours été là pour moi, pour me protéger de ses fanfarons qui voulaient me mettre en cage pour mangeage de cookies.

 

Tu as été sans aucun doute un des amis qui m'a aidé à m'intégrer a me faire me sentir bien dans les contrées magnifique de Stendel et New Stendel. Je me souviens encore des nombreuses fois, ou tel un vilain chat, j'ai parcouru le fort ou même la prison, en quête de griffures a parsemer tel des miettes de pain. Des fois, plus qu'unique où j'ai pu avec plaisir, devenir le temps d'un soir, le capitaine Pimoussy. Beaucoup de mes bons souvenirs, je dois l'avouer que je te le dois, que ce soit ses amis que je me suis faisSaguya ou même Zorn... C'est avec une petite larme que je me souviens de ces moments où j'ai ri et me suis amusé. Il est vrai que tu es une personne qu'on n'oublie pas, de celle qui se gravent dans le cœur avec des lettres dorées.

 

Tu es une personne droite sur laquelle on peut certainement compter (jusqu'à vingt bien entendu!). Je me souviens comme si c'était hier, moi petit nouveau sur ses terres et toi, vieux qui me guidait. Je ne saurais jamais te remercier assez mon petit Penpen, et jamais je n'aurais de cesse de prendre plaisir a te taquiner et a t'embêter. Ça toujours été et ce sera toujours un plaisir de te compter parmi mes amis. Et j'espère de tout mon cœur que cette merveilleuse histoire ne s'arrêtera pas là et que je pourrais encore compter mille et mille soirées en a ta compagnie, dans le bonheur ou même la tristesse.

 

Alors a mes yeux, tu mérites sans conteste ce grade, d'un bleu aussi beau et pur que ton cœur. Sache que je serais toujours de ton côté et que jamais je ne grifferais ton canapé, fois de Pimoussy ! Je t'offre donc, non pas un Pimouplussin, mais un gros et tendre câlin comme je l'ai jamais fait et une image rien que pour toi et pour te soutenir dans ce rêve qui sans doute sera un jour le mien. Que la truite saumonée soit de ton côté que tu soit bénis du saumon doré et que surtout la déesse de la lune te garde.


Ton très cher ami, Pimoussy.

 

819598PenpenPlussin.jpg

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Il était temps que je passe ici pour plussoyer le grand Pencroff !!

 

Pour commencer Pencroff est un joueur que j'ai appris à connaître lorsque j'ai fondé Simurgh. Je l'ai vu reprendre le Fort Herobrine au moment où il était au plus bas de sa popularité jusqu'à aujourd'hui où l'on peut constaté une énorme amélioration de la qualité de son projet ainsi que sa vaste communauté très active faisant de son projet et des projets autour un lieu plein d'essor.

Je me rappelle qu'à l'époque j'initiai certains des projets de son territoire tel que les voies ferrés au sein de son territoire. Aujourd'hui c'est lui qui vient me voir pour proposer des projets de rénovations de ses voies ferrées au sein de son projet.

 

Pencroff est donc un joueur très emblématique du serveur. Sa forte activité, son sérieux, ses talents de dirigeants font de lui aujourd'hui un des quelques dirigeants de grande communauté sur Minefield. Sa motivation et la joie qu'il apporte aux joueurs de sa communauté font que les joueurs sont fidèles à son projet et qu'ils participent tous énormément aux différents projets de la communauté.

 

Vous comprendrez que dans ce plussoiement, je mettrai énormément en avant Fort Herobrine ... car Fort Herobrine ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans le travail acharné de Pencroff et sa communauté.

D'ailleurs je vous invite à faire un tour sur son projet qui évolue de jour en jour faisant de son projet l'un des plus originales du serveur.

 

Bref je pense avoir dis tout ce que j'avais à dire sur Pencroff. Nul doute qu'il mérite amplement ce rang et qu'il fera honneur au rang de Chevalier.

 

 

 

 

Cordialement,

 

Stalroc,

Directeur de l'académie de Simurgh

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Mesdames et Messieurs, B'soir o/

 

Si je viens ici en ce jour c'est pour soutenir le chère Commandant PenPen plus connus sous le nom de Pencroff.

Pencroff est une personne très investie dans la vie minefieldienne et ce pour plusieurs raisons. En effet il est le

dirigent du Fort Hérobrine, un projet ambitieux et qui fait parti des plus actives du serveur, Dolga n'a qu'a bien se

tenir. Il a réussis à le faire renaitre de ses cendres après un inactivité prologée et le résultat est super. Une architecture

travaillée, un ensemble cohérent et des events réguliers qui sont toujours agréable à regarder.C'est un projet tout mignon

qui est basé sur un RP fort entre ses membres mais aussi avec les personnes extérieurs. Faire des petits RP est un

bonheur avec lui et ses acolytes. J'en ai même profité pour faire une petit passage avec eux dans mon RP. Pencroff

n'est pas seulement un dirigeant  de projet mais également un tisserand commerçant actif toujours dispo pour un craft.

Discuté avec lui IG et sur le mumble est tout à fait agréable par son sérieux mais également par sa capacité à ne pas

être sérieux. Cette qualité n'est pas donnée à tout le monde, il faut le souligner quand elle est présente.

 

Pour moi Pencroff à l'étoffe pour devenir chevalier, son investissement sur le serveur n'est plus à démontré. C'est une

personne que tout le monde respecte et à qui le bleu ciel ira à la perfection. Bref tu as mon soutiens !

 

Sir Rocky,

Vice-Chancelier et Seigneur Dolenti.

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Bonsoir à tous.

 

Je termine donc mon passage de +ssoyage par le meilleur de tous, le suprême, unique, immatériel, surnaturellement puissant et absolument parfait Pencroff !
Pencroff est sans aucun doute une des meilleures rencontre que j'ai pu faire sur ce serveur et ce pour plusieurs raisons, Penpen est un joueur agréable et généreux avec tous ceux qui ont la chance de croiser son chemin. Il est sympathique, gentil et à l'écoute des joueurs du serveur.
Pour ce qui est des raisons "IG" de mon soutient, je dirais que Pencroff est un excellent dirigeant de projet, meneur d'homme charismatique, il a su relancer son projet de Fort et l'a mené à bien par de nombreuses rénovations et extensions, il a su mobiliser les bras nécessaires à ces nombreux travaux, mener à bien de lourds objectifs de refonte sur le long terme et en a fait le projet glorieux et florissant que nous connaissons tous aujourd'hui.
Je pense que Pencroff est fait pour être Chevalier, c'est un membre phare et plein de mérite du serveur, un bon conseiller et surtout un véritable ami !

Pour résumer, j'ai l'honneur de donner un pluss'1 à cette candidature à l'élévation Chevalière !

 

Suljii.

Modifié par Suljii
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Messieurs, mesdames Bonjour !

Cette lettre fait suite à la postulation de Bonadventure Pencroff au noble titre de chevalier de l'Empire. Il est naturel d'aider mon capitaine, et pour ce, je m'aide de plusieurs exemples. Le Commandant Pencroff est une personne sachant manier la foule. dans le bon sens cependant. Jamais un discours n'a manqué avant un quelconque affrontement. Je suis fier de compter parmi l'un de ses lieutenants. C'est à ses cotés que je me suis battu et je n'hésiterais pas à recommencer si nécessité il y a. 

Le Commandant Pencroff est aussi une personne que l'on qualifierait de "droite dans ses bottes". Par delà de ce qui fait de lui une personne incroyablement fabuleuse, il est aussi l'un de citoyens qui m'a permis de rejoindre une communauté dont je suis aujourd'hui fier d'être membre. De plus, il est toujours apte à proposer de nouvelles idées quand au Fort Herobrine, sait rebondir sur des conseils que l'on peut lui donner, et est toujours volontaire lorsqu'il faut aider quelque personne, qu'elle soit du Fort ou non.

Ce n'est finalement qu'un moindre retour des choses si je suis ici pour donner un coup de pouce à cette personne génialement atypique.

 

HRP/

+1 Pen' !

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Salut !

Pas besoin de faire un roman pour dire que Pencroff à su créé une communauté avec le projet du Fort herobrine, et qu'il a su évoluer, s'adapter et améliorer ses constructions, avec son ancienneté sur le serveur, je pense sincèrement qu'il mérite son titre de chevalier et qu'il es un exemple à suivre sur Minefield.

C'est avec un grand plaisir que je t'apporte tout mon soutien, courage pour la suite !

FlikyFlec.

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Hello !

 

Je viens egalement pour soutenir la candidature de Pencroff, Il m'a permis de pouvoir débuter sur Minefield mais egalement dans la Garde Volontaire, j'ai ainsi pu passer de longues heure de rire, de sérieux mais aussi de longue recherche interminable de pnj, Il m'a egalement à titre personnel permis de m'occuper dans de longues heure lors des taches de rénovations dont Pencroff m'a autoriser à effectué, mais egalement a me faire connaitre plus en détails ce serveur que se soit en terme de fonctionnement, mais egalement avec de gros guillemets car je ne vois pas d'autres thermes "l'histoire" du serveur notamment sur ce qui se passé lorsque je ne jouais pas encore ici !

de plus son expérience et son anciennetés parlent d'elles même je viens donc  plussoyer cette candidature egalement car je pense qu'il ne manque rien au Commandent pour atteindre ce grade.

Évidemment un énorme soutient et bonne chance !

 

JR

 

 

Modifié par JR_B38
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Malheur à moi si je n'avais pas plussoyé ce bon vieux Pencroff (qui m'a en plus mis dans ses remerciements).

Bon que dire sur le commandant ? 

Déjà c'est un bon dirigeant, reconnu par nombre de personnes. Il gère (avec l'aide des ses capitaines) un des plus gros projets en termes de membres actifs du serveur. Malgré sa tête en l'air c'est quelqu'un de très aimable qui est toujours prêt à aider les membres de son projet. 

Il sera, j'en suis convaincu, un excellent chevalier. Il a en conséquent mon +1

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Cher, Empereurs et Emperatrisses, 

 

Je voudrais soutenir le Capitaine des FHiens.

Je voudrais le soutenir car il m'a soutenu à mon arrivé sur Minefield et pour son amitié envers moi. Et quel ami serais-je si je ne soutenais pas ce Grand et Noble Capitaine qui as vécu de si belles et Grandes aventures ? 

Ses motivations mon aussi semblé nobles, digne d'être chevalier. Sous ses airs de moustachue corriace (voir sadique) et sa manie de fusillé tous ce qu'il lui passe sous la main c'est un très capitaine et très noble ami.

Donc pour sa belle moustache et ses bottes de cuir si soyeuses, son amitié et enfin son humour ;) je dis +1 Pour mon ami.

 

Xemoss, Villageois, chômeur et un peu taxer ;)

 

 

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Que dire de mon cher Pencroff..

Alala, il fallait bien qu'un jour je vienne plussoyer ça candidature chevalière !

 

Pencroff ou (Apple)Pen est un joueur que j'ai pu rencontrer dès qu'il est redevenu actif sur MineField reprenant ainsi son projet qu'il avait lui même abandonné en partant (Merci Stal pour l'avoir faire revivre !). Ce joueur depuis son retour nous a montré qu'il était un soldat gradé de qualité, allant même jusqu'à sauver une fois mes affaires in-extremis alors qu'elles étaient perdues dans un désert au milieu de nul part. Il a aussi su créer ça propre communauté sur le Fort-Herobrine, chose qui commence à devenir dur dans nos temps actuels où avoir une communauté est un travail de long terme.

Pen(Pinneaple) est aussi un joueur très Role-Play, venant jouer la police en capital pour faire des contrôles réguliers où encore en faisant des expéditions que j'ai pu suivre, il a su refaire vivre le RP en jeu qui est une chose dûre à faire vivre et ça aussi je l'en remercie (D'ailleurs n'hésitez pas à passer sur A'M et cela vaut pour toi Pen =p)

 

J'pense avoir tout dit sur (PenPinneaple-Apple)Pen bien qu'il y est tant de chose à dire mais tout ne me vient pas à la tête, donc il est sûr que je viendrais éditer ce plussoiement au fur et à mesure !

Bonne chance dans tes démarche vers la chevaliérisation !

 

Bref je vous abandonne sur ces mots avec une musique bien pour (Long)Pen !

 

Saguya Ootsuki,

Sage du Conseil d'Al'Maagik,

Ambassadrice (et Citoyenne) de Dolgarund et

Membre de l'ANA et l'AVC !

 

PS : Penpen pour la musique moi aussi j't'aime ! =p

Modifié par SaguyaOotsuki
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Bonjour bonjour !
Je viens de réaliser que j'avais oublié de plussoyer le fabuleux Pencroff, alors me voici me voilà :
Pencroff, qui est réputé pour gérer d'une main de fer le FH, est doté d'un sens de la justice et d'un charisme des plus honorables, et arbore fièrement une moustache que je classe comme la 8e merveille du monde.
Malgré sa couardise et sa capacité à fuir face à mon briquet, c'est quelqu'un de très sympathique et dévoué, à la fois mature et drôle, avec qui discuter est un plaisir. J'ai pu a quelques occasions me battre contre ou avec lui, et c'est aussi en l'honneur de ces quelques batailles partagées que je m'empresse de soutenir le Commandant Pencroff, qui rassemble toutes les qualités qu'un chevalier devrait avoir ( sauf quand il ouvre le feu contre des Freiwaldis \o/ ).

 

+1 pour la moustache.

PS : T'es vieux Pen.

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Bonsoir à tous, je viens à mon tour plussoyer ce cher Penpen!

 

Étant maintenant citoyenne de Simurgh, j'ai eu la chance de découvrir Pencroff, fidèle voisin de notre projet. Comme nous sommes tous les deux assez souvent connectés aux mêmes heures, j'aime beaucoup squatter le salon Mumble du FH, car je sais qu'il est toujours de bonne compagnie, et que je peux discuter de sujets plus ou moins légers, ou bien participer à des expériences parfois un peu risquées à des heures non conseillées. 

 

Je viens aujourd'hui vous témoigner la sympathie de ce grand homme, dirigeant son projet d'une main de fer, mais restant très attentionné envers tous les membres du FH. En toute honnêteté, c'est une personne que j'admire.

 

Évidemment, il n'y a pas que le FH qui peut compter sur lui, je suis convaincue qu'il est un élément fort de notre communauté. Je sais que je peux toujours compter sur lui lorsque je me crash en élytres, en SPLASH, ou tout simplement décède face à de petits mobs... Vous aurez compris, il aide même les cas les plus irrécupérables. 

 

Sur ces belles paroles, je vais retrouver Penpen sur Mumble, et vous laisse donc un énorme +1 pour cette candidature chevalière =)

 

PS : je me voyais mal terminer ce plossoyement sans évoquer la moustache, donc ... MOUSTACHE !

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Ciao !

 

J'ai l'honneur en ce jour sacré... Hum... Je viens aujourd'hui plussoyer ce bon Pencroff. En effet c'est un joueur exemplaire, et je ne verrai personne qui serait plus légitime au grade de chevalier. Qu'est-ce qu'un chevalier ? Quelles sont ses valeurs de base ? La modestie, le respect, courage, droiture, bonté, défendre les gueux... Pencroff est quelqu'un qui répond entièrement à toutes ces valeurs.

 

Il est difficile de dire en quoi Penpen est un joueur fabuleux ! Son projet qu'il a su entièrement redresser est remodeler est une véritable réussite. En terme d'architecture, déjà, le projet a incroyablement évolué et est de plus en plus beau ! Mais c'est surtout la communauté qu'il a su créer autour de lui qui est incroyable. Le Fort Herobrine est très certainement la communauté qui est la plus importante aujourd'hui. Mais ce qui est formidable c'est que tous ces joueurs viennent de tous les horizons, ont tous leur spécialisation (builder, farmer, spamer...) et ça donne des ambiances dans le channel mumble juste dingue !

Pencroff arrive à gérer sa commu incroyablement bien compte tenu du nombre de personne qui la compose. Et puis il a su donner une grande dimension RP à son projet, ce qui est encore un grand exploit.

 

Le Fort Herobrine est un parfait exemple des qualités de Pencroff ainsi que de son investissement dans le serveur ! De plus, il est toujours présent pour donner un petit coup de main aux personnes en détresses (ou juste pour répondre aux nombreuses questions). C'est un tisserand sur qui on peut compter, quelqu'un de modeste pour qui l'argent ne compte pas, au-dessus de ces choses triviales quoi ! :P

 

Bref, vous l'aurez compris, on retrouve toutes les valeurs qu'un joueur doit posséder pour accéder au grade de chevalier. C'est définitivement l'un des joueur méritant le plus ce grade !

 

Shruikraan Neïas Zacifrän

Grand prêtre de Jebsu

Défenseur des Houndaers

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Bonsoir je viens ici pour venir soutenir ce cher Pencroff qui est une personne sympathique et aimable avec qui il est agréable de discuter. De plus ce que j'aime beaucoup avec ce joueur c'est son amour pour le roleplay. En effet, c'est grâce à des joueurs comme lui que j'ai eu envie de faire du RP de temps en temps et franchement c'est super. Je pense aussi qu'il saura défendre les couleurs de l'empire en tant que chevalier. Il est toujours motivé et actif dans ce qu'il entreprend et il gère avec l'aide de Ghideon le Fort Hérobrine d'une de fer ce qui est très respectable, en plus il a su faire évoluer l'architecture de ce projet avec ses membre. Je  pense donc qu'il a tout le mérite pour devenir chevalier c'est donc pour cela que je lui apporte mon soutien dans sa requête pour accéder au grade de chevalier.

 

Cordialement Lugnasad

Chevalier Dolenti

Citoyen de l'empire

Gérant de l'Outil'Heure

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  • Viaduc a changé le titre en [Accepté] Pencroff, Chevalier des Terres du Sud
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